1. LA TABLE DE SAPIN 4


    Datte: 15/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... que j’ai pu constater, tu as pris ton pied. Chuchota-t-elle. Je souris sans répondre. Elle rampait. Sur le ventre au milieu du lit. - Tu le sais peut-être pas. Mais moi hier… il m'a manqué quelque chose… si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Alors j’ai pensé. Il serait bien de finir ce que tu as commencé hier. Souffla-t-elle d’une voix chaude. Elle se redressa sur les coudes. - Je veux jouir autant que ma sœur. Si tu vois ce que je veux dire . Elle posa la main sur mon pantalon. Enveloppant sans complexe ce qui appartenait normalement à sa sœur. Avec des gestes d’infirmière elle me débarrassa de tous ce qui l'a gêné. - Baise-moi. J’en crève d’envie. Ses doigts avaient commencé à me masser. D’une souplesse et d’une précision diaboliques. Devenue bien dure, elle la dirigea au plus intime d’elle-même. M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos contre le mur. M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos ...
    ... contre le mur. Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse. La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins. J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir. Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart. Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse. La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins. J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir. Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart. Agitée de soubresauts d’une violence inouïe, elle se mettait à rebondir contre mes hanches. N’obéissant plus qu’à son plaisir. Cherchant à s’empaler encore plus profondément. Son plaisir qui fit germer le mien. Incapable de me retenir plus longtemps, j’éjaculais avec violence. La clouant contre le ...