1. LAURE et AURELIE 4


    Datte: 15/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pinçais, moi aussi ? - Contente-toi de pincer Gilles. - Je vois, Tu le pinces parce que tu en pinces pour lui. Jalouse. Cette fois tu es amoureuse, tu auras droit au diplôme. Adrien tu nous l'as transformée. Je subodore des sous-entendus. - Mais ce n'est pas tout. Laure va s'arrêter, Gilles va prendre la place d'Adrien et Adrien viendra à côté de moi: il faut que je le prépare à sa nuit de fiançailles. Viens, mon petit chéri, je vais te mettre à niveau. Je t'offre un cours gratuit de formation accélérée. Je vais te? Aïe ! Je n'ai rien vu. Je suppose que Gilles a imité Laure. Je me retourne malgré la ceinture de sécurité. Le garçon a trouvé le moyen de la faire taire : il l'embrasse avec avidité et a envoyé sa main droite sous la jupe, entre les cuisses de la bavarde. Enfin un peu de silence. Laure est absorbée par sa conduite, nous traversons un village. J'ose une main sur sa jambe, le moteur a un hoquet et repart dans son ronronnement. Elle n'a pas protesté. Derrière ils sont occupés à se lutiner. Je m'enhardis. Ma main descend au genou, l'enveloppe doucement, en fait le tour. Laure sourit ? Ma main remonte, cette fois sous le tissu, à pleine peau. Une peau toujours plus douce. Je la regarde. La caresse ne doit pas déplaire, elle feint de l'ignorer. Je redescends au genou, remonte, un peu plus haut. Du bout des doigts j'atteins une zone plus chaude, plus lisse. La conductrice se remet au fond de son siège et m'ouvre un passage plus large: c'est plus lisse, plus doux, plus ...
    ... chaud. Elle ne dit toujours rien. Quand je touche le tissu de la bande de soie, entre les deux cuisses, Laure se mord la lèvre inférieure, fixe la route, plisse les paupières. - Oh ! Le coquin ! Il n'a pas besoin de leçon, il connaît déjà le mode d'emploi. Adrien, tu devrais avoir honte. Tire ta main, voyou, tu vas provoquer un accident. Tu nous mets en danger. Laure, tu es inconsciente ? C'est que tu te laisses faire sans crier. Ah ! Tu rougis, il te reste un peu de pudeur. Regarde la route. Laure a rosi plus que rougi. Mais moi, je sens l'afflux de sang dans mon visage. J'ai brusquement retiré ma main, elle tient toujours le genou rond de Laure. Quelle peste, cette coiffeuse. Je venais d'arriver à une frontière jamais franchie, mon cœur battait la chamade. J'allais peut-être oser appuyer, gratter doucement le tissu, chatouiller le fruit fendu sous la soie, explorer des contrées inconnues. L’autre est intervenue au plus mauvais moment. Je vais la haïr cette coupeuse de cheveux en quatre. Je me tourne pour lui faire une grimace. Elle ne la verra pas: les yeux refermés, bouche close par un nouveau baiser, cuisses écartées, culotte poussée sur un côté, dans le creux de l'aine, elle accueille sous une toison fournie, en bas de la fente rose au moins deux doigts en pleine frénésie de l'ami Gilles. La garce. Elle ne rougira pas, elle est toute rouge. Le spectacle me fascine. Mon immobilité alerte Laure: - Regarde devant toi, voyeur ! Ce disant, de sa droite libérée elle remonte ma ...