1. La fête des sens (1)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Divers,

    ... peu importe à qui elle appartient puisqu’elle me permet de libérer la tension que j’ai accumulée depuis le début de la soirée. Cette bouche glisse sur ma fente qui est pleine de ma mouille et elle trouve rapidement l’endroit sensible. Mon clitoris est déjà en érection depuis un long moment et les caresses buccales me font hurler de plaisir. Je creuse mon ventre, je me trémousse, avançant ma foufoune vers la langue qui me fouille. Le désir, l’envie me secouent et soudain, je pars en râlant. Un long trait de mouille jaillit du fond de moi, inondant le visage de celui qui me lèche. J’adore ce moment où ma jouissance explose, cet instant où plus rien ne peut être contrôlé. Je laisse fuser la cyprine et j’entends comme en bruit de fond la voix de l’homme qui sait qu’il vient de me donner du plaisir. — Comme elle est bonne ta salope, comme elle gicle fort, elle m’en a mis partout ». Puis c’est toi qui réponds par ton rire cristallin qui crève le silence de la nuit. Vos caresses ont repris sur mon corps apaisé. Les mains voltigent sur mes seins, glissent sur mon ventre, et mes tétons sont tirés, malaxés, mais sans douleur. L’un de vous me remonte les jambes et elles sont maintenues en l’air par deux mains qui les serrent par les chevilles. Je suis maintenant pénétrée, par je ne saurais dire quelle bite. Les couilles de mon partenaire viennent frapper sur mes fesses et le bruit que font ces petits chocs contre ma peau, claque dans la nuit. Je suis prise et j’apprécie cette façon ...
    ... de me faire l’amour, et je me remets à hurler de plus belle. Il pourrait y avoir cent ou mille personnes autour, je n’en ai cure, je veux juste du plaisir. Et il remonte vite à la surface, je dégouline encore de mouille. Je la sens qui coule dans la raie de mon cul, qui m’inonde le bas du dos. La deuxième queue est présentée à mes lèvres et goulûment je la happe. Mais je dois très mal sucer tant je suis concentrée sur le sexe qui me rentre dans le minou. Je ne peux pas penser vraiment à ce que je fais alors que je suis limée de si belle façon et soudain, je sais que c’est toi qui me prends, je reconnais ta manière habile de me pénétrer en ondulant du bassin, c’est typiquement ton savoir-faire. Mon bonheur est à son comble et je tente encore de m’appliquer pour la fellation que l’autre espère, mais c’est difficile. J’ai plusieurs orgasmes successifs et enfin l’inconnu lâche mes chevilles. Je rabats mes jambes le long de ton corps et tu en profites pour faire avec moi un demi-tour. Je me trouve maintenant sur toi et tu n’as même pas essayé de sortir ton sexe du mien. Nous sommes corps et âme en communion parfaite. Tes deux mains viennent se plaquer sur mes fesses, les écartent sans violence et l’inconnu se positionne immédiatement contre elles. Son vit tendu, en attente de plaisir aussi vient cogner contre mon œillet sombre que tu as découvert. Une petite poussée et le sexe est sur le point de me sodomiser. Il pousse lentement mais surement et le muscle qui tente vainement de ...
«12...5678»