1. Nuit et délire subtropical


    Datte: 21/10/2017, Catégories: hh, couleurs, copains, vacances, massage, intermast, Oral hdanus, hsodo,

    ... nu avec son habituel maillot de bain short rouge que je lui ai ramené de Lyon. Mes doigts massent sa nuque, puis descendent le long de la colonne. Puis passent sous ses bras. Il réagit un peu lorsque je passe sous les aisselles, comme s’il était chatouilleux. Me mains viennent explorer ses pectoraux, et viennent inspecter le bout de ses tétons qui, bizarrement sont aussi durs que ceux d’une femme. Paolo et moi avons déjà baisé ensemble… la même femme… une jeune mulâtre qui a travaillé quelques temps à la maison… Elle nous a appris beaucoup de trucs pas possibles la salope ! Paolo se laisse faire sans rien dire. Un vertige inconnu m’envahit. Ce n’est pas l’idée de mal faire. Ce genre de sentiment m’est étranger. Le sentiment d’être sur un terrain inconnu… d’avancer à tâtons dans le noir. Mes deux mains caressent inlassablement la poitrine et les tétons de Paolo. — J’aime te caresser ! Veux-tu que j’arrête ? Paolo analyse ma question, pendant que ma caresse continue, sans qu’il bronche. — Non, t’arrêtes pas ! Nos yeux sont toujours hypnotisés par l’écume des vaguelettes qu’illumine la pleine lune. Mes mains reviennent caresser son dos. Ma main droite vient doucement caresser sa fesse droite sous son maillot. La gauche va devant pour vérifier l’effet de mes caresses sur la pudeur de Paolo. Son membre en érection ne me surprend pas. Moi-même, j’ai mal tellement je bande. Que m’arrive-t-il ? Je n’avais jamais pensé avant que la caresse d’un garçon pouvait me provoquer un tel ...
    ... trouble. — C’est mal, ce qu’on fait Paolo ? Paolo se retourne délicatement, retire doucement mes mains, enlève son short qu’il laisse choir sur le plancher, et vient poser sa main gauche sur la longueur de mon sexe. Son contact m’électrifie littéralement. — Non, ce n’est pas mal, puisqu’on est heureux en le faisant. Sa main découvre à mon tour ma poitrine, faisant naître d’incroyables sensations électriques et la chair de poule. Ses yeux rient et éclairent la nuit. Sur ses cheveux crépus qu’il porte longs à la mode rasta, à l’inverse de moi qui les ai très très courts, on distingue les reflets blonds, résultats de la décoloration des longues heures que nous passons tous au soleil et sur l’eau pendant la journée. — Tu as déjà aimé un garçon, Paolo ? Paolo continue à me sourire dans la nuit. Sa tête s’incline vers moi, et ses lèvres viennent se poser sur ma poitrine, exactement sur le téton. Je suis pétrifié par la brûlure intense que je ressens sous le baiser. Ma bouche est sèche. Quelque chose est en train de se passer. Quelque chose que je n’aie pas pensé, pas imaginé. — Jamais ! Ses lèvres viennent embrasser l’autre téton — Qu’est ce qui arrive, Paolo ? Son corps s’est rapproché du mien jusqu’à le toucher, car je sens son sexe brandi qui vient s’appuyer et caresser ma hanche. — Je ne sais pas, mais je suis bien… j’ai envie ! Sa main sur mon sexe est comme du courant électrique. Je suis tellement paralysé de bien-être que je me laisse faire paresseusement… comme d’habitude. ...