1. Un matin coquin


    Datte: 21/10/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, fagée, exercice, humour,

    J’ouvre difficilement un œil, la vue est trouble, je fais le point. Le deuxième reste clos. Un léger ronflement qui vient d’à côté de moi. Je jette cet œil à demi ouvert vers le réveil, il est 6 h du matin. Je récupère mon œil, ça peut toujours servir. Je m’étire, une bonne nuit de passée, j’ai bien dormi. J’ai mal partout, mais cela veut dire que je suis vivant… C’est samedi matin, rien de prévu ce matin, je ne me lève pas. Le ronflement persiste, je tends la jambe et gratte du bout du pied une jambe qui ne m’appartient pas. Ça râle, elle n’aime pas, je le sais… Mais ce n’est pas ça qui la réveille… Juste elle arrête de ronfler. Couchée en position fœtale, elle me tourne le dos. Je me tourne vers la dame, car c’est une dame qui gît à mes côtés. Ma main droite voudrait se précipiter pour descendre et rencontrer ses fesses bien rondes. Mais je vais me retenir dans un premier temps et me contenter de lui caresser le dos. Je lui caresserai les fesses plus tard. Je rencontre surtout sa chemise de nuit. Un tee-shirt trop grand pour elle. Une espèce de truc en coton. Plus « utile » que sexy. Je le remonte doucement pour accéder à mon objectif. Silence total. Le dos est câliné ainsi que ses flancs. Mais je ne saurais résister plus longtemps. Ma main droite descend se poser sur le fessier mis à jour. Une bien belle paire de fesses, bien rondes et bien joufflues, tendres à souhait. La position que nous avons ne me permet que l’utilisation d’une seule main. Je commence à pianoter du ...
    ... bout des doigts, ma main va de haut en bas, de gauche à droite, effleure autant que ne se pose. Je fouille un peu comme si je ne connaissais pas le chemin. Un de mes doigts va se perdre dans la raie. Ma main descend le long de la cuisse, je caresse le mollet pour remonter sur le fessier. C’est un va-et-vient incessant et doux qui continue. Les fesses, la cuisse le mollet, le pied … Le pied pour moi aussi. Je m’arrête un peu sur ces fesses, je les malaxe légèrement, tout en douceur. J’essaye d’être tendre, gentil. Je remets son maillot en place et ma main file vers le haut, je cherche un sein, je le trouve… un seul… l’autre est coincé sous son bras. Du bout de l’ongle, à travers le tissu je glisse le long de cette demi-poitrine disponible. « De la tendresse bordel, retiens-toi ce n’est pas un pamplemousse que tu as sous la main. » Je le soupèse, caresse le mamelon, le titille, je vérifie la rondeur, je ne peux le soulever il est coincé quelque peu… Je passe le bout de mes doigts dessus, je me sens frustré… Toujours à travers le coton… Je cherche le deuxième, mais il est trop inaccessible. Pas grave, je me contenterai d’un pour commencer. Ma main court sur le tissu, je quitte ce sein pour remonter, j’atteins la nuque, l’effleure, soulève les cheveux, mes doigts passent sous les oreilles délicatement, sensuellement. Je redescends un étage plus bas, je retourne au téton, toujours tendrement. Cette fois, je passe sous le linge. La peau est douce, on dirait une peau de bébé, quel ...
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