1. Un matin coquin


    Datte: 21/10/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, fagée, exercice, humour,

    ... contact agréable… Elle ne bouge toujours pas, mais je la sens frissonner… petite coquine… Je m’enhardis et ma main se dirige vers l’entrejambe de façon un peu plus soutenue. Tout en continuant ma caresse, mes doigts s’insèrent de plus en plus vers son intimité, mais toujours en douceur. J’arrive à caresser l’entrée de son intimité, mais c’est limite, juste du bout d’un doigt. Le majeur nécessiterait une longueur supplémentaire, ça aiderait beaucoup… J’insiste un peu plus longtemps à cet endroit, mais les caresses continuent en tous sens. Je remonte ma main sur son ventre. Un ventre bien rond, avec quelques bourrelets que je suis du bout des doigts. Comme elle est pliée, je ne peux pas toucher son pubis, je remonte donc encore vers les seins. Là encore, la position n’ayant pas changé, je n’ai l’accès qu’au même, l’autre étant toujours bloqué sous son corps. Et encore, quand je dis accès… Là, c’est à travers le tissu que je caresse ce sein. Le tee-shirt est toujours là. Je l’ai surnommé « l’anti-baise ». Le pied, le mollet, la cuisse, les fesses, le ventre avec ses vagues, bien rebondi, le flanc, avec ses coussinets d’amour, le sein. Ça caresse, mes doigts ne touchent pas, ils surfacent, ils affleurent, de la gentillesse et de la douceur. Je la sens frissonner… Enfin un objectif atteint, la réveiller en douceur. Le tout sans un mot, ni de ma part ni de la sienne. Un de mes doigts se perd dans la raie de ses fesses, direction sur son petit trou. Pas de tentative de pénétration, ...
    ... je respecte, elle ne veut pas de « ça », juste un effleurement. J’humecte mon doigt pour que la caresse soit plus douce. Je sais qu’elle n’aime pas ça… Mais je sais où je veux en arriver. Ça paie, elle gémit, elle allonge ses jambes, s’étire, se tourne indiciblement pour se placer sur le dos… De cette manière, je ne peux plus caresser la partie de son anatomie que je touchais précédemment. Mais pas de soucis, c’est bien l’objectif que je visais, je voulais qu’elle fuie cette caresse… Et pour la fuir, quoi de mieux que de se mettre sur le dos… Et en position dorsale, j’ai accès à beaucoup plus de parties de son corps. Vive moi… des fois je m’aime ! Ma main en profite pour accéder à son pubis. Mes doigts se perdent dans sa toison, je fouille doucement, mais je ne descends pas plus bas. Je reste dans cette touffe de poils. Ici pas d’épilation, du vrai, du naturel, du long, du frisé… Que dis-je, une forêt vierge. Du plaisir au toucher… Je ne caresse que le pubis, je fais bien attention de ne pas aller plus loin. Non pas que je me ferais jeter, loin de là, mais il faut faire durer le plaisir et ne pas mettre la charrue avant les bœufs. Donc chaque chose en son temps, j’ai bien le temps de m’occuper de la partie inférieure plus tard. Ma main droite se perd donc sur le pubis et le ventre. Je descends le long de l’aine pour finir dans l’intérieur de la cuisse. Je saisis un peu plus fermement l’intérieur de cette cuisse, et je la fais rouler sous les doigts tendrement, en faisant bien ...
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