La découverte de ce que j'aime (1)
Datte: 21/12/2020,
Catégories:
Gay
... levais aussi et rejoignis un groupe d’amis. Je ne revis pas Alain de la soirée, et je me dis qu’il devait être allé se coucher. Vers 3 heures du matin, je pris moi aussi la direction de mon lit. J’occupais une petite chambre à l’écart des autres chambres. Pour y acceder, il fallait traverser le grenier puis suivre un long couloir qui donnait sur diverses pieces inoccupées et réserves. Une fois arrivé, je me déshabillai rapidement, ne gardant que mon caleçon et m’effondrai dans le lit. Je ne sais pas si je dormais depuis 10 minutes ou 2 heures quand j’entendis le plancher du couloir grincer. J’ouvri un oeil et vi Alain entrer dans la chambre. — Mince, je t’ai réveillé ! il n’y a plus un lit de libre, ca fait une demi heure que je cherche une chambre libre, ce gîte est un vrai labyrinthe. — ha merde, t’as trop bu, tu ne te rappels pas où es ta chambre ? il eclata de rire — c’est certainement ca, le rhume était plutôt fort. J’abandonne, je trouverais jamais mon lit... ca te derange si je dors ici ? Un peu surpris, et encore bien saoul, je ne su pas quoi répondre. — Allez, fait moi un peu de place, le lit est assez grand pour 2 ! sans attendre ma réponse, il commenca à se déshabiller. Je le fixais et du faire une tête étrange quand il enleva son slip. Comme sur la plage, je fut impressionné par ce sexe rasé et ces bourses lourdes et pendantes — Quoi ? tu m’as déja vu nu non? je dors toujours nu, tu devrais essayer, on se sens plus à l’aise. Je ne répondais toujours pas, ...
... hyptnotisé par cette énorme paire de couilles qui pendait à moins d’un metre de mes yeux. je senti mon sexe durcir malgré moi. — Comme tu veux, allez, au dodo ! il se glissa sous les draps et éteignit la lumière. j’étais très troublé et mon esprit tournai à 100 à l’heure. J’avais une trique de dingue, presque douloureuse. Je n’osais plus bougé, et je restais étendu sur le dos, incapable de me rendormir. Au bout d’un moment qui me sembla duré des heures, j’entendi un léger ronflement. Je commencais à me détendre un peu, avec une étrange sensation de frustration. L’alcool aidant, je fini par sombrer dans un sommeil peu profond. Je fus réveillé par une sensation étrange : je senti une main posée sur ma cuisse. Ma queue se raidit instantanément, mais les ronflements provenants de mon voisin me firent comprendre que le geste était involontaire. Malgré ca, je senti le tissu de mon caleçon se tendre comme rarement et je devais lutter contre l’envie de me branler. Je restais à nouveau figé, le temps semblant figé. Au bout d’un moment, je senti la main d’Alain bouger et remonter légèrement. Ses doigts étaient maintenant à ras de mon caleçon et la légère pression qu’il fis sur l’intérieur de ma cuisse me fis pousser un petit cris involontaire. Sa min s’immobilisa, mais très vite, je la sentie reprendre son mouvement lent. Quand je sentis un de ses doigts effleurer mes couilles, je poussa de nouveau un petit cris, et mon bassin fit un mouvement incontrôlé. Alain, qui même s’il ronflait encore ne ...