La découverte de ce que j'aime (1)
Datte: 21/12/2020,
Catégories:
Gay
... dormais pas plus que moi, pris cela comme un signal, et glissa doucement sa main dans mon caleçon, et saisie mes couilles qu’il commença à malaxer. je ne pouvais m’empêcher de gémir, et même si mon bassin faisait des vas et viens incontrôlable, je n’osais toujours pas bouger. Ses mains me massaient les couilles et je sentais un de ses doigts commencer à me caresser de plus en plus pret de mon petit trou. Un peu affolé, je bougea enfin et pris son poignet pour tenter de le repousser. Sa main se ressera sur mes couilles, à la limite de la douleur — laisse toi faire, tu vas aimer. tu ne trouves pas ca agréable ? Paniqué, je ne savais pas quoi répondre. je senti son emprise se resserrer, cette fois la douleur était bien présente. — alors, tu n’aimes pas ? — si si, j’aimes... — tu aimes quoi ? que je te serres les couilles ou que je continue mes caresses ? je sentis l’emprise se refermé encore, et la douleur monter. A ma grande surprise, cela m’excitait et je m’entendis répondre d’une toute petite vois: — que tu me serres les couilles Alain sembla surpris, et je distingua dan sla pénombre un petit sourire. Sans relâcher son emprise, il me dit — oh, vraiment ? je suis tombé sur une petite chienne, on va bien s’amuser... tu vas m’obéir, tu vas être à moi. Ces quelques mots m’électrisèrent , je sentis ma petite queue durcir encore et je répondis, toujours d’une voix très faible — oui, je ferais ce que tu voudras Alain ne répondit pas, mais je sentis son malaxage reprendre, plus ferme ...
... qu’au début, et un de ses doigts me caressait maintenant mon petit trou. Je ne pu m’empêcher d’écarter les jambes pour lui faciliter l’acces. — Oh oui, une vrai chienne! mais pas si vite, c’est pas toi qui décide ici, je m’occuperai de ton cul quand je le voudrais. Ces mots crus m’éxcitèrent encore un peu plus, et j’avais l’impression que j’allais jouir sans qu’on me touche. — Tu as deja été avec un homme ? — non, jamais — on ne dirais pas, ma petite chienne. je vais bien te dresser, tu vas être mon jouet. ne répondant pas, je sentis mes couilles écrasées par une poigne de fer, je poussais un cris de douleur et de plaisir. — répond quand je te parle ! tu vas etre mon jouet ? — oui la poigne se rafermi — oui qui ? — oui.... maitre? c’était sorti tout seul, et cela sembla satisfaire Alain qui dessera un peu sa prise. — c’est bien, tu apprends vite sentant la prise se ressérer, je répondis rapidement — merci maitre — Très bien, je t’ai vu me reluquer à la plage, mais tu étais encore un gamin. tu t’es branlé en pensant à moi — oui maitre. la honte de l’avouer était largement dépassée par l’excitation que je ressentais, j’avais l’impression que mon cerveau était éteins. — tu es assez veiux maintenant, je vais faire ton éducation. Tu as aimé mater ma bite tout à l’heure ? — oui maitre -alors maintenant tu vas la gouter ! je degluti, saisi à nouveau par un début de panique. Ne répondant pas, je senti mes couilles me lancer sous la pression et m’empressa de dire "oui maitre" tout en ...