Un après-midi mouvementé
Datte: 21/12/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
inconnu,
copains,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Oral
fgode,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
fouetfesse,
hff,
... sommes rendu compte que nous exercions dans des domaines complémentaires, répond Mélanie en tirant sur le bord de sa jupe. Une relance sur l’aspect artistique de son métier achève de détendre complètement la jeune femme qui, se trouvant en terrain connu, s’engage pleine d’assurance dans des explications animées, qu’elle ponctue de grands gestes expressifs. Si expressifs qu’elle finit par en renverser son verre, heureusement presque vide. — Mais quelle empotée ! s’exclame Carole, devant un Vincent médusé par cette réaction brutale.— Pardon, je vais tout nettoyer, répond Mélanie qui, agenouillée, tapote le sol avec une serviette pour éponger, en levant vers la maîtresse de maison de grands yeux humides.— Et tu imagines que tu vas t’en sortir comme ça ? poursuit Carole qui ponctue sa tirade en tirant à petits coups sur une mèche de cheveux de sa victime. D’une traction plus appuyée, elle fait passer la jeune femme à quatre pattes, puis promène sa main libre sur le petit derrière bien cambré. Tétanisé sur son siège, Vincent essaie désespérément de recoller les éléments d’une situation qui n’a cessé de lui échapper depuis l’arrivée de Mélanie. De toute évidence, il assiste à une espèce de jeu entre les deux femmes. Au-delà de la surprise et de la gêne, le sang lui bat les tempes et il ressent un début d’érection. Carole a retroussé la jupe de Mélanie, dévoilant un string noir et les élastiques de bas assortis. Elle lui administre maintenant de petites tapes sèches sur les ...
... fesses, lesquelles ne tardent pas à rougir sous pareil traitement. À chaque impact, la jeune femme pousse un curieux grognement, entre douleur et plaisir. Puis la douce tortionnaire écarte le sous-vêtement, ce qui offre à Vincent une vue imprenable sur le sillon rosé, déjà luisant d’humidité. Du bout des doigts, Carole caresse les orifices offerts, mais sans jamais aller au-delà des effleurements. Chez Mélanie, l’envie de jouir se fait impérieuse. Elle ondule de la croupe pour venir s’empaler sur les doigts de Carole, mais celle-ci veille soigneusement à lui refuser la délivrance recherchée. Vincent a déboutonné son pantalon et se masturbe en se délectant du spectacle. — Petite égoïste, tu veux avoir ton plaisir, mais rien pour mon ami ? assène Carole d’une voix rauque, en arrêtant son manège. Debout et déshabille-toi ! Mélanie s’exécute docilement. Étant très mince, son ossature saille sous la peau bronzée. Sa poitrine presque inexistante sous le soutien-gorge abaissé par la main impatiente de son aînée rappelle celle d’un garçon et tranche violemment avec les hanches pleines. Désormais parée de sa seule lingerie, la victime plus que consentante s’offre à ses bourreaux, qui viennent chacun emboucher un sein. Rapidement, les dents remplacent les lèvres sur les tétons. Ses jambes flageolent sous l’assaut. Elle grogne, autant de plaisir que de frustration, car Carole veille à ce qu’elle ne puisse pas venir se caresser et ne lui laisse que le maigre exutoire de serrer fortement ses ...