Christine VI : Midlife Crisis (14)
Datte: 22/12/2020,
Catégories:
Hétéro
Le jeudi 16 mai, en fin de matinée, Fabienne est le principal sujet de discussion entre Mélissa et moi. En la voyant habillée très sobrement le matin, je fais remarquer à Mélissa qu’elle s’est faite des idées. — Vous avez rendez-vous à quelle heure ? — Elle m’a dit qu’elle avait un entretien téléphonique prévu entre 18h et 18h15. On se voit après. — Ouais… Quand il n’y a plus personne dans la boite, elle n’aura pas la même tenue. — N’importe quoi. Et en parlant de tenue, viens par ici que je vérifie la tienne. Mélissa s’approche et lève sa jupe. Elle porte un tanga noir. Je fais "non" de la tête. — Comment ça, "non" ? — Je vais mesurer mais ton tanga n’est pas réglementaire. Elle rit. Je prends ma règle et mesure la largeur du tissu au dessus de ses fesses. — Je confirme. Il y a trop de tissu. — Je dois faire quoi ? — Si tu mets un tanga, tu dois compenser la surface par de la transparence. Elle rit de plus belle. — Donc, soit un string fin, soit un tanga transparent. — Voilà. Je vais donc te demander de l’enlever et de me le remettre. — Tu es un coquin, Florent. Un gros coquin. Mélissa ôte son tanga et me le donne. Elle replace sa robe et quitte mon bureau. Comme si de rien n’était. Mélissa et moi avions prévu qu’elle travaille dans mon bureau en toute fin de journée, jusqu’à l’arrivée de Fabienne. Quand cette dernière ouvre la porte de mon bureau, je prends soudain conscience que Mélissa avait peut-être bien raison. Fabienne s’est changée, entièrement, et elle porte ...
... désormais une courte jupe verte à ourlet volanté, très moulante, et un chemisier semi-transparent avec nœud lavallière. Stricte, élégante, ultra sexy, surexcitante. Fabienne semble par contre irritée par la présence de Mélissa dans mon bureau. Je donne les clefs du bureau à Mélissa et quitte l’entreprise avec Fabienne. Nous prenons ma voiture. L’apéro est un spectacle de jeu de jambes qui m’hypnotise totalement. Je suis sous le charme des ses fines chevilles et de ses deux gambettes lisses et galbées de nylon. Le dîner est ensuite plus tranquille. Concernant son comportement, il est clair que Fabienne joue de séduction. Pour autant, elle ne me drague pas. Je dirai qu’il s’agit d’une relation amicale teintée de séduction. Je n’ai aucune raison de me méfier et d’ailleurs, je profite d’un passage aux toilettes de Fabienne pour écrire à Mélissa qu’elle s’est trompée. Ou alors, la soirée avec moi l’aura fait revenir sur ses intentions. Quand Fabienne revient des toilettes, nous quittons le restaurant et je lui propose d’aller boire un verre dans un bar que je connais. Elle refuse poliment, se disant fatiguée. Je me dis alors que je vais passer sauter Mélissa avant de rentrer. Je ramène Fabienne à sa voiture, dans le parking souterrain de l’entreprise. Elle regarde dans son sac à main : — Mince, je n’ai pas les clefs de la voiture. J’ai dû les oublier au bureau. Elle semble contrariée. — Tu veux que je t’accompagne ? — Ça ne te dérange pas ? Je ne suis pas très rassurée de monter toute ...