Christine VI : Midlife Crisis (14)
Datte: 22/12/2020,
Catégories:
Hétéro
... seule. Je me gare, nous prenons l’ascenseur. Dans les couloirs, il n’y a que des veilleuses et, effectivement, il fait assez sombre. Fabienne ouvre la porte de son bureau et allume la petite lampe de table. Elle fouille dans ses affaires, ouvre les tiroirs. Elle sort une bouteille de gin : — Tiens, j’avais oublié que j’avais ça ici. Tu voulais boire un verre ? Quelques instants plus tard, elle retrouve ses clefs. — Je crois qu’il y a du Schwepps dans le distributeur. Tu vas chercher deux verres ? Fabienne sert deux gin tonic et nous nous installons dans le petit canapé deux places, oublié dans un coin de la pièce. Nous trinquons. Fabienne me regarde en souriant étrangement et dit : — Il y a deux semaines, mon mari et moi avons été invités aux 40 ans d’un de ses collègues. A table, je me suis retrouvée à côté d’une femme que je ne connaissais pas et nous avons sympathisé. Quand je lui ai dit où je travaillais, elle m’a dit qu’elle te connaissait. Fabienne marque une pause et boit une gorgée : flsfrrgp — Comment dire… J’ai vu, tout de suite, qu’il s’était passé quelque chose entre vous. On est passé à autre chose, mais elle buvait beaucoup, trop. Plus tard dans la soirée, elle m’a tout raconté… Fabienne sourit, boit et pose son verre à terre : — Elle… elle a été assez loin… dans les moindres détails… La jolie blonde passe alors la main sur mon entrejambe. Elle plante son regard dans le mien. Yeux dans les yeux, elle déboutonne mon pantalon d’une main, lentement, puis elle sors ...
... mon sexe. — Elle a dit qu’elle n’avait jamais vu une si grosse queue, même à la télé. Elle marque une pause : — Et je t’avoue que moi non plus… La DRH se penche alors sur mon entrejambe et commence à me sucer. Je pose la main derrière sa tête pour accompagner le mouvement. Elle me passe ensuite une capote, enlève son string et vient s’empaler sur mon sexe. On est à des années lumières de la cadre supérieure que je croise tous les jours, qui semble mal-baisée avec son balai dans le cul. J’ai sur moi une femme avide de sexe, provocatrice, obscène et lubrique. Une actrice de film pour adulte. Alors qu’elle sautille très vivement sur mon chibre, elle souffle : — Prends-moi par le cul ! Elle se met à quatre pattes dans le canapé, les avant-bras sur le dossier. Je la prépare rapidement, sommairement, avant de la pénétrer. J’y glisse étonnamment vite et il ne fait aucun doute que Fabienne est une habituée. Ma bite est entièrement dans son cul après quelques instants et je la pilonne. Elle gémit, supplie, crie son plaisir. Je redouble de vitesse et de vigueur et atteint l’orgasme. Je me retire. Son cul est un gouffre. Elle se tourne, haletante, en sueur, des plaques rouges sur le visage. Elle déboutonne à moitié son chemisier, retire sa jupe. Et surtout, elle dit en souriant : — Alina. Je pense que tu connais. Nous finissons nos verres en parlant d’Alina puis Fabienne se lève pour aller chercher la bouteille sur son bureau. J’en profite pour voler une photo rapide de la DRH en train ...