1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (2)


    Datte: 23/12/2020, Catégories: Transexuels

    Cela fait une demi-heure que l’on roule. J’ai bien essayé de toucher les cuisses charnues de ma conductrice, à chaque fois je me suis fait rembarrer. Elle roule à vive allure. On doit être du côté de Carnon, enfin je pense. On a pris que des chemins de traverse et je dois l’avouer, je suis complètement pommé. Puis nous ralentissons et nous nous dirigeons vers une superbe, une splendide villa. — Voilà, ma grande je te laisse ici et sois bien sage… — Quoi, tu ne viens pas avec moi ? Et tu me laisses en plan à cent mètres de ce château ? Elle descend de la voiture et en fait le tour. — Oui. Les consignes de monsieur. Et file-moi tes frusques. Il te veut à poil, enfin sans poil… Hihihihi. — T’es folle, hors de question que je me mette nu ici. — Ahlala, ne fait pas ta chochotte. Y’a personne, dit-elle en me tirant fermement hors de la voiture. Alors, tu te déshabilles ou je le fais. Tu as le choix. — Et les chaussures ? — Garde-les, cadeau. J’enlève mes pseudo-vêtements et c’est à poil que je me dirige vers la somptueuse demeure de monsieur Émile. Je me remémore les échanges que l’on a eus, surtout celui où je lui avais demandé comment l’appeler. Sa réponse fut claire. Pas un mot. Je ne bande pas, enfin j’ai une demi-molle. Curieusement, je suis excité. Arrivé devant la porte, je sonne. La lourde porte en bois s’ouvre, c’est monsieur Émile. Il est en costume de marque. Petit mais costaud, pas de ventre et des mains soignées. Son visage inspire la sympathie. — Ravissante, ...
    ... superbe, magnifique. Allez, entre, n’ai pas peur. Il me parle comme à un chien. Il me tourne autour, me palpe les fesses, les cuisses, me soupèse les roubignoles et me décalotte la queue. J’ai l’impression d’être à une foire aux bestiaux. — Bel engin que tu as là. Bon, faisons le tour de propriétaire. À droite les chambres, mais interdiction d’y aller. À gauche le salon et là, la salle à manger, interdit. On avance à travers un immense couloir et on arrive dans une immense cuisine fort bien aménagée. — J’espère que tu sais cuisiner. Tu es un peu là pour ça aussi. Te faire passer pour un chien, c’est du folklore. Mais tu auras le droit à tes séances de dressage, tout comme l’a eu Malika. Je t’expliquerai demain. Et là le patio, mon endroit préféré… Qu’en dis-tu ? Je ne réponds pas. Mais l’endroit est magnifique. Un jardin luxuriant avec des cascades, des petits ponts de bois. Malgré la chaleur, il y fait bon. — Oh, excuse-moi. Tu peux me parler maintenant. C’était pour voir si tu étais sérieux mais je le savais déjà avant que tu arrives. Domi m’a tout raconté dans les moindres détails. — La salope !!! — Et tu ne crois pas si bien dire, tu auras l’occasion de la revoir, et ce dès demain mais allons voir ta chambre. Il y en a une qui doit t’attendre. On traverse le patio. J’adore cet endroit. On arrive devant deux portes, une d’entre elles est ouverte. — Je vous laisse quartier libre et carte blanche, j’ai une soirée avec d’autres dresseurs de la région. Il s’en va mais revient très ...
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