De Hervé à Vanessa, chienne soumise (2)
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
Transexuels
... terriblement sexy et avec les transformations faites et à venir tu seras parfaite, ma puce. — À venir ? — Tu en poses des questions. Tu verras. Allez, on va chez moi que je te fasse visiter. C’est avec mon p’tit sac à dos que l’on se dirige vers sa chambre. Elle pousse la porte du pied. Elle s’ouvre automatiquement et me dit qu’elles doivent rester ouvertes en permanence. — Repose-moi maintenant. Le bruit de succion que fait sa chatte sur ma queue nous fait partir dans un fou rire. Elle ne montre pas la salle de bain, la même que la mienne. Sa chambre par contre est aménagée avec goût et soin. Ses affaires de maquillage sont sur une coiffeuse savamment équipée de tiroirs, de niches et d’éclairages subtils. Elle m’ouvre son dressing. Les vêtements sont tout de marque et des plus sexy. Son lit est identique au mien mais il est dans un angle du mur du fond. — Ici c’est chez moi depuis onze mois et demi. Émile a cédé à mon caprice. Il m’a trouvé un mâle. Lui qui n’aime pas foncièrement les hommes. Mais mon choix a été long et laborieux. Douze mecs sont venus ici mais pas un ne me plaisait. Comme je te l’ai déjà dit, pas un pour rattraper l’autre. Des curieux, des vieux vicelards, des moches. Pas un seul n’a eu le droit à la visite de sa chambre, enfin la tienne. Elle se dirige dans sa salle à manger vers un canapé en cuir et m’invite à venir à côté d’elle. Elle prend une télécommande et une grande télé écran plat dernier cri sort du meuble opposé. Elle sélectionne une chaîne ...
... diffusant des clips et baisse le son. Je suis enivré par ses effluves et Popol réagit. — Je serais bien tenté mais j’ai un peu mal de partout. Dit-elle en regardant le susnommé. Tu es une sauvageonne quand tu baises. — Ne me parle pas comme si j’étais une fille, s’il te plait. — S’te plaît amour, j’en ai envie et puis il va falloir que tu t’y fasses, Émile t’a trouvé un prénom. — Quel Prénom, fis-je en m’étranglant avec ma bière. — Tu verras demain… Me répondit-elle avant de m’embrasser. Je vis, dans l’embrasure de la porte, la silhouette de monsieur Émile. Les mains dans les poches et un porte-documents sous le bras gauche. Il s’avance vers nous. Malika se lève et lui saute au cou et l’embrasse amoureusement. Il est clair que je ne suis pas son mec exclusif. Il faudra la partager avec monsieur. — Alors, les jeunes, on a fait connaissance ? — Si on peut dire monsieur. — E.M.I.L.E, est-ce bien compris ou je me fâche. — Oui, monsi… Emile. — Bien, il faut que je vous parle. J’ai un souci avec mon agence de Londres, je serai absent trois semaines et je partirai après ma réunion de ce soir. Venez on va s’installer à la table, on serra mieux. Malika lui apporta une bouteille de bourbon et pour nous deux, deux bières. Elle ne semble pas étonnée du départ de monsi… d’Émile. L’habitude, sans doute. — Hervé, c’est ça ? Je lui réponds par hochement de tête. Il avale un verre de bourbon cul-sec comme pour se donner du courage. Malika le ressert. — Maintenant, j’aimerais ne pas être ...