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Eve et Landru
Datte: 24/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,
Ève a fait une grosse bêtise. L’affaire est entendue. On a fait uneétrange publicité à son histoire de pomme. Quelle idée d'avoir constituécette dernière comme le bouton rouge de la bombe atomique sur lequel ilne fallait surtout pas appuyer. Et puis outre le benêt d'Adam, il yavait ce tordu de serpent. Bref on a décrété qu'à partir de ce jour toutavait été détraqué ce à cause d'une femme. Ce jour-là dans ce jolijardin public j'étais à mille lieux de songer à cet épisode de notreapocalypse. Je prenais le soleil avec un livre à la main assisebenoîtement sur un banc.Cela faisait dix jours que je venais régulièrement me délasser dans cetendroit. Je m’étais familiarisée avec certains personnages du lieu. Il yavait l'ancien de la légion qui effectuait ses pompes et autresexercices. Il y avait la mémé au sourire immuable et flanquée de sonpetit-fils. Il y avait un arabe terroriste qui psalmodiait dans sonCoran. Il y avait un couple muet d'amoureux dont il n'était pasdifficile de deviner qu'il formerait un jour une union malheureuse.Enfin il y avait M IDRAH, élégant sexagénaire qui affectant de liredraguait aussi partout.Il avait bien essayé avec moi dès le premier jour en me disant deschoses banales sur mon roman de Jane Austen. J'étais mal à l'aise qu’ilregarda ostensiblement mes cuisses. Je concède cependant un peu demauvaise foi. J'arborais en effet souvent une jupe courte pour exhibercette partie de mon anatomie que je savais précieuse et remarquable ensoi. Le pauvre homme ...
... tel la mouche tombant dans le piège d'une toiletendue venait que rendre un hommage mérité à cette partie de chairsertie d'un bas non moins chair.En fait j'eus voulu attirer d'autres mâles. J’avais depuis peu uneprédilection pour les jeunes et beaux gosses. Ma cinquantaine avaitrésonné depuis peu. Sortant par hasard avec un stagiaire de vingt ansj’avais une comme une révélation. Il baisait comme un dieu. J’avais ététouché de son regard innocent. J'avais cru devoir interrompre unerelation par trop scandaleuse. Je n'avais eu jusqu'alors de mots assezdurs pour stigmatiser l'engeance fameuse de femmes nommée couguars.J’avais peur d’attirer le mépris des collègues jalouses après mon aventure.Je n'en poursuivis pas moins l'expérience. Tantôt je recrutais sur dessites ou aller draguer dans certains bars le soir. Ayant ma voiture, jepersuadais le type de venir s'y faire sucer et obtenir le reste.L’étonnant est que je revenais de ce genre d'escapade avec une sorte dehonte et de remord. Dans le rétroviseur je ressemblais alors avec mescheveux furieux à une gorgone. Mes bas voire ma culotte étaient encoremaculés du foutre dont l'odeur imprégnait l'habitacle. Je me sentais unepute. L'état d'avilissement entrait sûrement dans la qualité de majouissance.Je ne faisais cela que le soir dans l'obscurité propice à tous lesvices. J'y pris quelques risques des fois. Je pouvais tomber sur unmalotru qui non content de me violer eût pu aussi me détrousser du peud'argent que j’eus. Cependant il faut ...