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Eve et Landru
Datte: 24/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,
... croire en effet que la chancesourit aux audacieux. Ce danger sûrement entrait dans mon plaisir. Brefj'en étais là : garce et mangeuse d'hommes discrète et sévissant lanuit. J’avais dans mon jardin public quelque difficulté à trouver etattirer les mignons dont je rêvais. Les deux, trois repérés medédaignèrent simplement. J'en étais réduis à lire.Il y eût pourtant une notable exception. Une fois un jeune et beaupakistanais m'aborda s’enchantant de Jane Austeen et surtout que je sussoutenir une conversation en anglais. Le lendemain il m'invita àdéjeuner dans un kebab peu loin. Le courant passa. Par mes regards jelui signifiais que la dame que j'étais n'était pas indifférente à soncharme. Presque par timidité, il crut devoir céder à mon invitation àvenir dans ma voiture garée à quelques pas de là. Là nous nousembrassâmes et caressâmes. Surtout j'obtins qu'il accepta la fellation,exercice où je savais exceller.Je dus pourtant déchanter car invétéré timide je ne le vis pas revenirles jours suivants. Sûrement mon empressement l’avait du choquer.Décidément seuls les voyous me convenaient. Seuls eux avaient égard etcompréhension pour la salope que j'étais. Comment se fait-il qu'entreles êtres les choses ne soient pas plus faciles et fluides ? J'en venaisà regretter les mœurs des villages vacances où il est établi qu'entre unhomme et une femme l'été, la relation de sexe puisse être obligée. Aprèsun bref baratin on se retrouve imbriqués au fond d’une case.Mon joli jardin public en ...
... ce mois de mai n'avait rien du clubMéditerranée. Le hâle sur la peau était encore timide. On y était si peudénudé. J'y portais encore des bas. Je m'y consolais par le jeu de jouerdes pieds et des jambes _ ce fameux dangling _ pour attirer et séduireles hommes. J'ai ce vice depuis ma prime adolescence. Par ce ballet deséduction j'ai maintes fois envoûté quelque futur amant. Moi même celame procurait une excitation forcenée. Je me caressais de cette façon lesexe. J'en mouillais la culotte. Précisons que j'ajoutais des fois unplug dans mon anus.L'obscur IDRAH je ne sais comment perçut cela. A peu de mètres de moi del'autre côté de l’allée, il me faisait signe souriant et affectant deconverser avec un jeune homme étudiant et dont il semblait l'ami. Unesprit grossier et mal avisé eût conclu à un couple d'invertis. M IDRAHjouant le rôle d'un Charlus et celui du jeune mignon et frais d'unMorel. Il n'en était rien. M IDRAH avec son air sournois et sa salefigure faisait plutôt songer à un terrible Landru. Je frémissaismoi-même à deviner ce qu'il pouvait faire à une femme. J'eus préféréplutôt être câlinée par son ami.Ce dernier était par trop timide. Les deux fois qu'il me fut amenéIDRAH, il baissa les yeux tandis que je le fixais. Il n'était point sotet était vraiment féru de littérature. J'étais flattée de l'avoirimpressionné et qu'il eût à sa façon manifesté son désir pour moi. Je nerechignais pas à sortir des fois avec de jeunes empotés. S'y exprimaitsûrement ma fibre maternelle. ...