1. Jeux entre frères (2)


    Datte: 23/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... temps, je tenais fermement cette bite d’une main à sa base et de l’autre, je lui malaxais les testicules. Mon frère appréciait car il gémissait. À l’écran, mon guide avait cessé sa fellation. Il s’était redressé et se préparait à s’empaler sur la bite tendue de son partenaire allongé sur le canapé. Il recouvrit le membre de son ami d’une capote et se plaça au-dessus de l’engin. — Oh, putain ! Antoine, regarde, ils vont s’enculer ! — Julien, c’est dégueu ! — Tu veux arrêter ? — Non, non ; tu as dit qu’on faisait comme eux, alors vas-y ! — Mais on n’a pas de capotes. — Tant pis, fais-le quand même, j’ai trop envie d’essayer, ils m’excitent ces mecs. — Oh ! Tu deviens pédé ? — Pourquoi, pas toi ? vwtvlk Nous avions pris du retard : mon guide s’était déjà empalé sur son partenaire et semblait prendre un immense plaisir. Encouragé par ce que je voyais à l’écran, je pris la bite de mon frère et m’assis dessus. Inondée de salive, elle s’enfonçait en moi, créant une légère douleur à mon anus qui semblait s’ouvrir sans trop de réticence. Comme à l’écran, mon frère se redressa et emboucha mon sexe. C’était bon, terriblement bon, ma première fellation ! Je sentais mes bourses se gonfler, la pression augmenta rapidement. Courbé en avant, je fis des mouvements de va-et-vient ; mon frère regardait, l’air étonné. J’étais rouge, en sueur ; la bite de mon frère dans mon cul me faisait un bien énorme. Je fus pris de puissantes convulsions et je lâchai une salve de sperme sur le visage de mon ...
    ... frère qui éjacula dans mon cul. J’avais senti en moi sa bite se gonfler et des jets puissants comme une lance à incendie m’inonder les boyaux. Nous étions largement en avance sur nos partenaires qui eux n’avaient pas encore terminé et nous avions regardé la fin de leurs ébats en nous masturbant violemment. Mais notre jeu fut interrompu par le bruit de la voiture de Maman qui entrait dans la cour. Quand Maman rentra de ses courses, elle nous jeta un regard interrogateur et nous dit : — Vous êtes tous bizarres et vous transpirez comme des bœufs, vous avez si chaud que cela ? — Non, non, Maman, tout va bien, mais tu as raison, il fait chaud. — Allez vous doucher et après : un petit tour dans la piscine. Ça vous calmera. — Maman ! — Ne me prenez pas pour une idiote : vu votre état, vous vous êtes maté un film de cul, allez ouste ! Nous finîmes dans la piscine en attendant que notre père revienne du travail. Il était commercial et toujours en déplacement, ce qui agaçait un peu beaucoup Maman car il devait toujours partir avec son assistante. Elle devait soupçonner quelque chose d’anormal car un soir, alors que nous étions dans nos chambres, mon attention fut attirée par des éclats de voix ; c’était Maman qui hurlait et j’entendais la conversation : — C’est cela, tu préfères cette poufiasse de secrétaire à moi ! — … — Tu me prends pour une cruche ? Tu t’imagines que je n’ai rien vu de votre manège ?! Puis il y eut des bruits de vaisselle cassée et de portes qui claquaient, puis un ...