Jef fait du stop (1)
Datte: 23/10/2017,
Catégories:
Erotique,
... gage tout comme le troisième, j’y ai bien eu droit. Dans la foulée, sans attendre seulement quelques minutes que je me remette de mes émotions, elles se sont relayées toutes les trois pour me branler, surtout pour la troisième fois. Une demi-heure, pas moins pour me faire jouir ! Elles ont employé toutes les possibilités qu’elles avaient pour parvenir à leur fin. Pipes, masturbations et aussi du dentifrice que Charlène avait dans son sac de plage ! Pire ! C’est Françoise qui en a parlé. Il paraît qu’on stimule l’éjaculation en caressant la prostate. Pour ça, tu le sais certainement, mais il faut passer par les voies naturelles. C’est Corinne qui m’a mis un doigt dans le cul et là, oui, j’ai joui, mais comme je t’ai dit, après trente minutes ! — Et bien, mon pauvre garçon, je comprends mieux que tu aies eu un peu de mal à sortir tout cela ! Mais, c’est bien d’en avoir parlé, ça soulage ! J’espère qu’elles t’ont rendu ton maillot après ça ! — Oui, mais elles m’ont bien fait courir. Elles jouaient à se le lancer pendant que j’essayais de l’attraper. Ça les faisait rire de me voir cavaler à poil dans le sable pour récupérer mon slip avec ma bite qui battait entre mes cuisses ! — Compte sur moi pour te faire oublier cet épisode navrant de ta vie sexuelle. Approche ! Allonge-toi, ferme les yeux et détends-toi. Alice, attentionnée, telle une professionnelle des massages orientaux, s’est occupée de son jeune auto-stoppeur. Multipliant les caresses, les baisers, les attouchements ...
... partout sur son corps, elle l’a doucement, imperceptiblement, irrémédiablement conduit dans les jardins du paradis. Jef se tordait de plaisir, gémissait, soupirait. À force de tutoyer l’orgasme sans jamais y parvenir il a fini par le réclamer à pleine gorge, la supplier. — Fais-moi jouir, je t’en prie ! Tu me rends dingue. Ayant obtenu ce qu’elle attendait de lui, elle a forcé un peu la cadence, activé sa langue, redoublé ses baisers. Soudain, Jef s’est mis à hurler, hurler comme jamais. Un jaillissement s’est élevé dans les airs suivis de plein d’autres jusqu’à ce que la source semble tarie. Le jeune homme soufflait comme un bœuf à la recherche d’un peu d’oxygène. Des sortes de convulsions animaient son corps par moment lui arrachant un cri rauque. Alice s’était levée. Elle alla à la fenêtre et l’ouvrirt non sans mal. La menuiserie grinça d’une façon lugubre, mais le battant consentit à s’ouvrir. Une bouffée d’air chaud envahit la chambre. Deux rayons de soleil à travers les volets à claire-voie pénétrèrent dans la pièce. Jusqu’à là baignée dans une obscurité relative, maintenant que les vitres crasseuses et recouvertes de toiles d’araignée ne leur faisaient plus obstacle l’un frappa directement le corps alangui du jeune homme, l’autre, presque parallèle, dessina un trait lumineux sur le parquet poussiéreux. Alice se retourna pour jouir du spectacle de ce jeune homme nu, maculé de son sperme, vaincu par ses caresses, totalement à sa merci. Elle songea un instant à Gérard. ...