Jef fait du stop (1)
Datte: 23/10/2017,
Catégories:
Erotique,
... L’idée de se faire ce petit jeunot qui n’avait certainement pas ou presque pas d’expérience l’excitait au plus haut point. Elle allait pouvoir jouir de lui tout en lui faisant découvrir tout ce qu’il ignorait des femmes ! La chambre dans laquelle elle venait d’entrer contrastait totalement avec l’aspect du bas. Elle était meublée avec goût, dans un style romantique, plein de jolies choses suspendues ou posées sur des meubles gracieux et joliment choisis pour aller avec le décor des murs et des tapisseries. Trônant au milieu de la pièce, un superbe lit à baldaquins, à colonnes richement ouvragées, donnait une touche finale à cette ambiance raffinée. Quand la porte s’ouvrit sur un Jef essoufflé, Alice était étendue sur le lit, nue, offerte, dans une position où elle ne lui cachait rien, absolument rien ! — Tu en as mis un temps ! Lui lança-t-elle sans même lever la tête. Jef, appuyé au montant de la porte reprenait son souffle tout en promenant son regard à l’intérieur de la chambre. Cela ressemblait de plus en plus à un rêve. Il espérait seulement ne pas se réveiller trop vite ! Ayant retrouvé un minimum de calme au niveau du cœur et du souffle, il s’approcha du lit où Alice l’attendait, alanguie, les membres écartés, sans la moindre pudeur. — Et si tu repartais d’où tu t’es arrêté tout à l’heure ? Ça commençait à me faire beaucoup de bien, tu sais ! J’ai même failli nous jeter dans le fossé à un moment ! Dans la voiture, le jeune homme avait fini par oublier sa timidité, sa ...
... gaucherie, son inexpérience. Mais là, devant cette sublime femme qui s’offrait à lui sans pudeur, il se sentait redevenir un petit garçon. Alice, elle, loin de manquer de pratique connaissait très bien les hommes, jeunes comme vieux ! Elle avait le souvenir du dépucelage d’un jeune timide de l’âge de Jef qui lui avait laissé un très agréable souvenir ! Aussi, elle devinait dans quel état de panique il se trouvait juste à ce moment. Elle décida de le faire croître encore un peu plus ! — Ce qui ne semblait pas facile en voiture est maintenant aisé ! Enlève donc tes vêtements ! Elle avait dit cela d’un air détaché en se dressant sur un coude. Peut-être que, si elle ne s’était pas relevée, si elle ne l’avait pas regardé, il aurait pu ôter ses habits sans problème. Mais se sentir observé, scruté, jaugé, évalué par des yeux féminins, cela lui semblait au-delà de ce qu’il se sentait capable de faire. Immobile au pied du lit, il faisait pitié à voir ! Alice était aux anges ! — Et alors ! Où est passé le jeune coq qui me tripotait les nichons dans la voiture ? Où est caché celui qui a glissé sa main dans ma culotte au risque de nous faire avoir un accident ? Tu n’as plus envie de moi ? Réponds ! — Si bien sûr, mais là... — Là quoi ! Tu n’es pas capable de te mettre tout nu devant moi alors que tu as une vue imprenable sur ma chatte. En disant cela, elle s’était cambrée comme pour lui tendre son ventre. — Tu as peur de moi ? — Non ! — Alors, Jean-François, montre-moi que tu es un homme ...