1. Petit jeu qualitatif


    Datte: 01/01/2021, Catégories: fh, campagne, Collègues / Travail amour, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral fdanus, jouet, attache, glaçon, fouetfesse, confession, fsoumisah,

    ... tout est enlevé. Damien contemple ce qu’il découvre… — Qui ne dit mot consent, Sabine…— Oui, je sais, Maître… Et je n’ai rien dit, il me semble…— C’est bien ce que je pensais, à moins que je ne sois subitement devenu sourd… Amusée, je ris, lui aussi. Puis sans transition, il soulève mon soutien-gorge, le plaçant sous mon cou, libérant ainsi mes deux petits seins. La nature ne m’a pas donné une grosse poitrine à faire fantasmer et saliver les hommes comme les loups de Tex Avery, mais disons que je n’ai pas trop à me plaindre : ils sont peut-être un peu petits, mais bien fermes, accrochés et tenant allègrement dans la main, comme le disait un de mes ex. Damien arrange mes vêtements afin de bien dégager ma poitrine. Ceci fait, il reprend sa cravache et taquine à présent le bout de mes tétons toujours en érection avec la languette de cuir. L’effet est plus fort, c’est logique. Puis alternativement, il s’occupe de titiller de plus en plus rapidement et plus fortement mes deux tétons ; mes seins oscillent sous les faibles impacts, voir ma chair danser ainsi m’a toujours fascinée… Parfois, la cravache quitte mes tétons pour aller s’aplatir sur la masse fragile de mes seins, dessus, dessous, latéralement… Stoïque, je résiste très bien. À vrai dire, Damien y va doucement, il joue plutôt, il teste, il expérimente. Soudain un coup appliqué sur le côté me fait sursauter. Il s’arrête aussitôt : — Ça va, Sabine ?— Oui, Maître, oui…— Sûre ?— Il y a une semaine, j’ai eu un coup sur ce sein, ...
    ... à cet endroit. Vous ne pouviez pas savoir…— Un coup ? Comment ça ?— Ce n’est pas ce que vous croyez : une porte ouverte que je n’avais pas vue ! Vous pouvez continuer sans problème. Il me regarde, l’air dubitatif : — Une vraie porte ouverte ? Ou autre chose ?— Une vraie porte ! Une en bois qui s’ouvre et qui se ferme avec une poignée ! Il continue, plus attentif. Mes tétons apprécient beaucoup, une sourde chaleur monte en moi. Une séance comme celle-là, pas de souci pour en subir une, matin, midi et soir ! — Petite pause, passage en mode « vanille ».— Bien, Maître (déjà ?).— Je vous détache ?— Non, non, je peux rester comme ça. Il s’approche de moi, me caresse doucement la joue, j’aime beaucoup ! Il me demande : — Tout va bien ?— Oui, Maître, sinon j’aurais dit lesafeword…— Damien, je m’appelle Damien. Nous sommes en mode « vanille », souvenez-vous…— Oui, Damien… En tout cas, vous savez bien vous y prendre !— Vous ne dites pas ça pour me faire plaisir ?— Pas du tout, Damien, vous vous en sortez très bien !— Merci, Sabine. Prenant la balle au bond, je lui confesse : — Mon petit nom est Sabiope…— Sabiope ?— Oui, vous devinez, je suppose, son étymologie ?— Assez transparente, je le reconnais. Donc vous préférez être appelée comme ça ?— Oui, j’aime bien.— Très bien, Sabiope. Le simple fait qu’il l’ait dit me fait chaud au cœur. Je sais que c’est puéril, mais c’est ainsi. Surtout de la façon dont il le dit. Je suis vraiment atteinte ! Je dois être définitivement irrécupérable ! — ...
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