Petit jeu qualitatif - Histoires de Sexe

Petit jeu qualitatif

... posséder tout de suite ! Et pas vous partager !— Il fallait y songer avant. Je veux encore vous obéir, toujours vous obéir, être votre parfaite petite soumise. Je me dégage de son étreinte, puis je m’agenouille devant lui, dans l’herbe, baissant la tête : — Je suis votre obéissante soumise, mon cher Maître !— Parfois, vous m’effrayez !— Pourquoi dites-vous ça ? Je m’offre complètement à vous et vous chicanez ?— C’est bien ce que j’avais dit : je ne suis pas le Maître qu’il vous faut ! Je lève les yeux vers son visage : — Vous êtes le Maître qu’il me faut : avec vous, je sais que je peux aller loin, très loin, vous serez toujours là avec moi, à veiller sur moi, vous aurez déjà tout planifié, prévu plein d’éventualités, vous faites toujours au mieux pour moi, je le sais ! J’aime la détermination dont vous faites preuve et aussi les hésitations que vous avez parfois envers moi.— Vous voilà bien impudente et affirmative !— Vous savez que j’ai raison ! Sourire en coin, il soupire : — Je me demande bien qui en réalité commande l’autre…— Vous connaissez très bien la réponse…— Vous voulez toujours que nous allions sur cette aire de repos ?— C’était bien votre but, votre ...

... ordre, Maître ?— Oui…— Alors, comme je suis votre soumise, j’obéis à tous vos ordres. Et après, je vous promets que je serais complètement vôtre ! Totalement ! Il regarde vers les lumières, vers le bruit des voitures qui passent. Je ramasse la baguette dans l’herbe, je la lui tends, comme une offrande de mes deux paumes ouvertes vers lui : — Vous avez perdu ceci, Seigneur.— Hum ? Ah, merci. Il me regarde intensément, puis me sourit. Il prend la baguette que je lui tends, en teste la souplesse, puis frappe l’air, la faisant siffler dans la nuit. Le bruit me fait frissonner. Puis il reprend la laisse en main et ordonne : — Ma chienne va se faire un plaisir de marcher à quatre pattes jusque l’aire de repos.— Tout ça, Maître ! Un coup de baguette zèbre mes fesses. Il reprend d’une voix ferme : — Il y a à peine dix-quinze mètres à faire, ta notion des distances est faussée par l’obscurité.— Oui, Maître. Je ne sais pas ce qu’il va se passer, là-bas, sur cette aire de repos. Après, je sais que je serais toute à lui, complètement, entièrement, absolument. Alors, à quatre pattes dans l’herbe, collier au cou, quasiment nue aux pieds de mon Maître, j’avance vers les lumières.