Petit jeu qualitatif - Histoires de Sexe

Petit jeu qualitatif

... quoi, ce truc, Maître ? Un second coup cingle mes fesses, je tressaille. Je ne sais pas ce que c’est, mais c’est chtardément piquant ! Je suis tentée de me retourner pour voir ce que c’est, mais en bonne soumise, je reste immobile. Une troisième zébrure chauffe mes fesses. Je sursaute à nouveau. — C’est supportable, Sabiope ?— Hou ! On le dira comme ça ! Limitez la casse ! Orange ! Ça pique atrocement. C’est quand même pas un cutter ?— Un cutter ? Tu me prends pour qui !— Excusez-moi… mais ça pique, ça brûle !— Pour ta peine, indique entre quatre et dix le nombre de fois que tu veux subir cette chose qui pique et brûle !— Entre quatre et dix ?— Oui, entre quatre et dix, je suis généreux, je te laisse le choix… Tiens, il a encore basculé de mode… Je réponds aussitôt : — Alors sept !— Sept ? Serais-tu maso, Sabiope ?— Je coupe la poire en deux, Maître. Quatre plus dix, ça donne quatorze, divisé par deux, ça donne sept…— J’avais compris. Je te proposais entre quatre et dix, te laissant le choix de prendre le minimum.— Je sais, Maître, et je vous en remercie. Mais je choisis le moyen terme.— Et si j’avais dit entre quatre et cent, tu aurais pris cinquante-deux ?— Euh… non…— Tu vois !— Maître, s’il vous plaît, c’est quoi, votre truc ?— Ceci. Il pose devant mon nez une baguette flexible, elle n’a rien spéciale. Je ne comprends pas comment ça peut faire mal comme ça ! Je demande : — Mais c’est une simple baguette, pourquoi ça fait si mal ?— Regarde au bout… Je tourne un peu ma tête ...

... et je vois comme une fine ficelle au bout de la baguette, ficelle qui s’achève par un nœud. — Ce n’est quand même pas cette ficelle qui fait cet effet-là ?— Si, le nœud aide beaucoup. Tout est dans le maniement.— Ça, je veux bien vous croire, Maître !— Alors, toujours sept coups ?— Sept, Maître !— Ok… Un ! Ça cuit une fois de plus ! Deux ! Je frémis sous la morsure ! Trois ! Je serre les dents, me traitant de maso finie ! Quatre ! Quelle conne, je suis ! Si j’avais dit quatre, ce serait enfin terminé ! Cinq ! Ça devient intenable ! Six ! Tiens ? Ça fait nettement moins mal… Sept ! Une caresse ! Les fesses brûlantes toujours à l’air, je soupire un grand coup, c’est enfin fini ! Mais je ne peux m’empêcher de dire d’une petite voix : — Vous n’avez pas été jusqu’au bout, Maître !— Et tu es assez maso pour me le signaler ?— Pas maso, Maître, pragmatique !— J’ai décidé que c’était bon, comme ça. Et on ne discute pas la volonté de son Maître !— Bien, Maître ! Le cul toujours en buse, je me sens un peu idiote, alors je demande : — Je reste comme ça, Maître ?— Oui, tu restes encore comme ça un peu ! Et ne bouge pas ! Soudain quelque chose de froid et de gluant s’étale sur mes fesses, les apaisant aussitôt. Ça fait beaucoup de bien ! — C’est quoi, Maître ?— Un baume prévu pour ce genre de chose.— C’est efficace !— J’espère bien ! La position n’est pas tellement terrible, mais je me fais câliner les fesses par mon Maître ! Et c’est très agréable ! Je resterais toute une nuit à me faire ...