Petit jeu qualitatif - Histoires de Sexe

Petit jeu qualitatif

... en avançant à un pas du bord du bureau afin qu’il puisse mieux lire. Un certain sourire s’épanouit sur ses lèvres. Je pense que je peux être satisfaite de mon petit effet. — « Je suis la propriété de Me Demain »… Bravo ! Tu as écris ça comment ?— Avec un miroir, Maître, mais ça n’a pas été évident au début ! J’ai dû recommencer plusieurs fois avant de savoir écrire correctement. Il se penche pour mieux voir : — C’est bien écrit, félicitations ! Les lettres sont bien formées.— Merci, Maître.— De plus, je vois que tu as fait ce qu’il faut pour que ce soit lisse de chez lisse comme chez un bébé. Rasoir ?— Non, cire.— Ah tiens, ce ne serait pas une mauvaise idée que de me faire appeler Sire… Sire Demain, ça m’irait bien !— Oui, Sire…— Tu apprends vite, chère Sabiope… À la cire, tu disais ? Ça n’a pas dû être une partie de plaisir…— Il faut savoir faire des sacrifices pour être belle pour son Sire…— Approche encore un peu, s’il te plaît. Je m’exécute, me demandant bien pourquoi. Il m’observe puis dit : — Et c’est partout tout net, même sur les lèvres ! Non, ça n’a pas dû être une partie de plaisir ! Les autres fois, tu n’avais pas poussé le luxe si loin. Un coup de rasoir suffisait, tu sais…— J’ai eu envie de vous faire honneur, Sire.— Sire, Maître… Finalement, gardons « Maître » mais tu pourras de temps en temps utiliser « Sire » ou « Seigneur » pour varier un peu.— Bien, Seigneur.— Décidément, tu apprends vite ! Enlève ta jupe et viens t’asseoir à côté de moi ! Qu’on en finisse ...

... avec ce dossier ! J’ouvre grands les yeux : — Que j’enlève ma jupe ? Mais, et si quelqu’un vient ?— Eh bien, tu resteras assise derrière ton bureau, c’est tout simple.— Et si je dois aller dire au revoir ? Ou me lever ?— Qui est le Maître ? Qui décide ?— Vous, Maître.— Très bien, alors exécution ! Et garde quand même ta jupe à côté de toi, on ne sait jamais, en effet… J’obéis, faisant glisser ma jupe à mes pieds, puis mon vêtement en main, je contourne le bureau pour venir m’asseoir ; il ne me quitte pas du regard. Alors que je m’apprête à m’asseoir, je constate que sa main est sur mon siège, dans une singulière position, dont je devine la finalité. Toujours debout, je l’interroge du regard. Avec nonchalance, il répond : —Sit down, tu me donnes le vertige.— Euh… bien, Maître. Alors, comme ordonné, je pose mes fesses sur le siège. Aussitôt, je sens s’insinuer en moi un doigt aventureux, puis un autre qui vient me taquiner plus haut, doucement puis fermement. C’est très bon de se faire masturber ainsi, empalée sur un doigt tandis que l’autre s’active autour de mon bouton sensible ! Le pire, c’est que cetoy improvisé est entré tout seul, je mouillais déjà ! Ça me fait plein de choses, comme je les aime, mais ce n’est pas ça qui va m’aider à avancer sur le dossier ! — Merci beaucoup, Maître, mais… Je vais avoir quelques difficultés à être… euh… opérationnelle pour ce que nous avons à faire pour la norme…— Aucun souci, je consulte simplement, je vérifie, et si il y a un problème, ...