Petit jeu qualitatif
Datte: 01/01/2021,
Catégories:
fh,
campagne,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
attache,
glaçon,
fouetfesse,
confession,
fsoumisah,
... rougissent déjà un peu. Il continue ses explications : — Un Maître n’a pas besoin de justificatif : s’il veut sévir, il sévit à sa guise.— Mais c’est pas juste que je sois punie, je n’ai rien fait !— Qui te parle de punir ? J’ai parlé de sévir, ce qui n’est pas la même chose…— Ah bon ?— Punir sous-entend en effet une bêtise à corriger. Ce qui n’est pas le cas de sévir. Et ne te plains pas, j’aurais pu utiliser des orties !— Merci, Maître…— Voilà qui est mieux. Un troisième coup, un peu plus fort cette fois, cingle mes fesses. Puis je sens une main caresser mes fesses endolories. J’aime ce contraste entre la douleur d’avant et la caresse de maintenant ! Damien s’approche de mon oreille et murmure : — N’oublie pas que tu n’as qu’un seul mot à dire pour sortir du jeu.— Oui, je le sais, mon Maître.— Alors ?— Je ne prononce pas ce mot, mon cher Seigneur… Il me donne un baiser tout doux au creux du cou, j’en frissonne d’aise. Sa main caresse le creux de mon dos, il poursuit : — Je ne pense pas qu’un Maître devrait se comporter comme je le fais, là maintenant. C’est bien pour cela que je t’avais prévenu tout au début…— C’est très bien ainsi…— Ça vous… ça te convient quand même ?— Ça me convient très bien ! Puis, sortant de mon rôle, je me retourne, et sans qu’il ait pu faire un geste, je lance mes bras autour de son cou, je me plaque à lui et je l’embrasse à pleine bouche. Lâchant sa baguette improvisée, il répond à mon baiser. Celui-ci dure longtemps, je suis aux anges, radieuse ...
... ! Puis nos bouches se séparent, c’est moi qui brise le silence : — Je ne suis pas non plus une bonne soumise !— En effet… On dira, pour sauver les apparences, que vous avez prononcé lesafeword à voix très basse ! Mes bras toujours autour de son cou, je ris de bon cœur : — Franchement, comme Maître, vous n’y êtes pas du tout ! Vous me cherchez toujours des excuses !— Désolé ! Ah… non, ça non plus, je ne devrais pas le dire ! Bon, on fait quoi à présent ? On remballe et… je m’occupe sérieusement de vous ?— Sérieusement ? C’est-à-dire ? Il pose son front contre le mien : — Ça va faire un bon mois, presque deux, que, finalement, on se tourne autour, l’un l’autre.— Je pense que oui, Maître !— Damien… je préfère…— Alors, c’est quoi ce « sérieusement » ?— Chez moi, toute la nuit, et j’espère plus que toute la nuit !— Vous avez une boîte pleine de pilules bleues ?— Avec vous, pas besoin ! Et c’est lui qui m’embrasse. Tout se passe au mieux ! N’empêche que ces hommes, il faut leur mettre les points sur les i pour qu’ils comprennent. Sinon, j’aurais pu attendre longtemps ! Il devient plus entreprenant et possessif, j’aime bien. Une fois de plus, hélas, nos lèvres se séparent : — Mon cher Damien, nous sommes déjà sur place, terminons ce qui était prévu par vos soins, et ensuite…— Et ensuite ?— Et ensuite, je serai toute à vous, complètement, totalement ! Brutalement, il me presse contre lui : — C’est bien ce que vous voulez ? Subir ce que j’avais prévu ? Je préférerais nettement vous ...