Élisa
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
profélève,
médical,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
attache,
fouetfesse,
piquepince,
f+prof,
fsoumisah,
... pour percevoir où se cache le tigre. Là en l’occurrence, le tigre est en face de moi, et il n’a pas l’air de plaisanter. Si je pouvais mettre en pause cette scène, j’éclaterais de rire, appellerais toutes mes amies pour leur raconter et appuierais surplay pour affronter plus détendue la sentence. Mais mon monde n’étant pas franchement compatible avec la réalité, je dois me prendre de plein fouet ce que j’imagine être la plus humiliante des situations. — J’aurais peut-être dû prévenir avant d’entrer. C’est dans ces moments-là qu’on regrette de ne pas avoir installé de camera. Mes sangs sont tellement glacés que je ne comprends même pas ce qui est en train de se passer. J’ai à peine eu le temps de sortir ma main du pantalon. — Je remettais ma culotte en place, Monsieur, je ne…— Ça fait cinq minutes que je vous observe… Mademoiselle. Tiens, le temps passe plus vite quand on est en extase. — Je… hum… ne sais pas quoi vous dire, je suis désolée…— Bien. Je vais le dire pour vous alors. Vous avez deux solutions : soit vous retournez en stage et cet épisode n’aura été qu’un simple malaise, je n’en ferai pas mention dans votre carnet et vous n’en parlerez à personne ; soit vous m’autorisez à vous destiner la punition que j’aurais choisie. Je ne réitérerai pas ma proposition. Est-ce clair ?— …— Je comprends. Demain 8 h, pas de retard. En rentrant le soir, je pense aux possibilités qui auraient pu se produire. J’ai peut-être manqué quelque chose de fort, mais je me vois mal dans ce ...
... rôle de stagiaire lubrique. J’ai toujours fait ça avec des personnes que j’aimais, le dernier m’a d’ailleurs laissé des marques et les mois qui ont suivis n’ont pas été très roses (je suis encore en période de « deuil »), alors me laisser tenter par mon supérieur… non, ce n’est vraiment pas mon genre. 5e jour – Qu’est-ce qui est mon genre après tout ? Devant la glace ce matin, une seule idée m’anime : retrouver des forces et tourner la page. D’ailleurs le temps a l’air de partager mon avis, le soleil s’est paré de ses plus beaux atours pour charmer la ville. Je la vois d’une autre façon, les toits racontent des histoires et je me plais à les deviner. Chaque appartement recouvre son secret, et le mien s’est soudain chargé du sien. Plus de temps à perdre, je m’habille… Changeons un peu les habitudes et sortons les vêtements de « grandes occasions » (c’est-à-dire qui ne voient jamais le jour). Chemise rayée verte qui me va très bien au teint, pantalon noir, boucles d’oreille, maquillage. J’ai presque oublié l’usage du mascara… Devant sa porte, je prends une grande inspiration et décide de, pour une fois, évoluer sans filet. Je frappe, il me fait entrer. — Pourquoi ne pas rester chez vous si vous n’êtes pas bien dès le matin ? Sa remarque, tranchante, paradoxalement m’enivre. Une parole de moi aurait été superflue, j’avance donc vers lui d’un pas décidé. Il a compris. — Non, pas de ça ! Il se lève, plante ses yeux dans les miens, et vient m’immobiliser d’une main les poignets ...