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Apolline et le fouet (1)
Datte: 02/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... en continuant à sucer le membre de Tom, je me souviens d’une séance précédente où j’étais vêtue d’un très joli et agréable kimono de soie. J’avais défait la ceinture qui le retenait, en avait écarté les pans et l’avait fait glisser à mes pieds. J’avais beaucoup aimé l’effeuillage et la délicate caresse du tissu sur mes seins et mes fesses… Tom a joui une première fois dans ma bouche et il me baise maintenant en levrette. J’apprécie particulièrement cette position ! L’un des raisons de ma préférence est qu’elle permet à Tom, plus que d’autres où nos corps sont plus rapprochés, d’avoir une complète vision des zébrures qui marquent mes épaules, mes flancs et mes fesses. Le plaisir du fouet n’est pas seulement celui de la cuisante caresse de la lanière. Il perdure de longs jours. D’une seconde manière. Si je me fais fouetter, c’est aussi pour avoir cet autre plaisir qui est celui des marques. Elles peuvent paraître déconcertantes pour ceux et celles qui ne connaissent pas notre univers. Elles sont alors boursouflées, un peu éraflées. Mais qu’est-ce qu’elles me rendent fière et combien elles m’aident à me sentir belle et désirable ! Déjà le lendemain, elles se sont un peu estompées. La peau est redevenue plane. Il ne reste que les lignes écrites par la main de Tom. Et puis, de jour en jour, elles décroissent et c’est à regret que je les vois se flouter et disparaître l’une après l’autre. Tom me laboure les reins. Ses yeux et ses doigts caressent chacune des très sensibles ...
... zébrures rouges laissées sur ma peau. Ils profitent de mes réactions. Sur l’écran, la nature des images a un peu changé. Je suis debout au milieu de la pièce. J’ai les deux poignets retenus par des cordes aux poutres du plafond. Mes bras forment un grand V et les liens me permettent de plier un peu les coudes. Mes jambes sont libres et je suis face à la caméra. Mon ventre et mes seins sont déjà un peu rougis par le fouet. Tom s’est arrêté un instant, s’est rapproché de moi et me caresse avec le bout du manche de son joujou. Puis il s’écarte de nouveau et je sais qu’il va de nouveau me gratifier de délicieuses morsures. Un premier coup sur le ventre m’arrache un petit cri et fait vibrer mon corps perché sur mes hauts talons. Deux ou trois soubresauts me font onduler de manière très excitante. Mes genoux se serrent et se plient un peu, faisant pointer mes fesses. Tom en profite ! Un coup un peu plus violent cingle bruyamment mon large postérieur ainsi exposé. La caresse me redresse et me fait rejeter la tête en arrière et écarter un peu les jambes. La lanière atteint alors le haut de la cuisse gauche. L’endroit est très sensible. La morsure m’arrache un cri plus fort que les autres. Mes genoux plient, mes cuisses s’écartent largement, ma tête tombe à la renverse et mes bras tendus sont entièrement suspendus aux liens qui me maintiennent debout. Le pied droit et le talon gauche momentanément décollés du sol, les muscles du mollet gauche bien dessinés, la taille fine au-dessus de mes ...