Une querelle qui se termine bien
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
pénétration,
fh,
Collègues / Travail
amour,
soubrette,
noculotte,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
mélo,
... ouvrir les yeux : elle voulait peut-être continuer à rêver. Elle se tourna alors de l’autre côté, et ce n’est qu’en entendant me gratter la gorge qu’elle les ouvrit et me vit. Elle ne dit rien, me regarda et sembla réfléchir. Elle était un peu perdue. Elle rougit un peu et se mit en position assise avec un peu de difficulté (ses fesses devaient lui faire mal) tout en tirant sur la couette pour la coller devant sa poitrine. Elle ne me dit aucune parole et me regarda avec ses pupilles dilatées, un petit sourire timide aux lèvres. — Virginie, il faudrait peut-être que tu suspendes ta sieste et que tu rentres chez toi car ta fille va s’inquiéter.— Elle est partie jeudi avec mes parents pour le Jura, chez mon frère. Tout en parlant, elle se trémoussait un peu (ses fesses devaient être douloureuses) ce qui me permit de voir qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Sans rien dire, j’attrapai le bord de la couette et la tirai à moi. Toute rougissante et gênée, elle la retint un peu avec ses mains puis la lâcha, ce qui me permit d’admirer sa poitrine. Elle avait de magnifiques petits seins en forme de poire avec de gros tétons bruns qui se tenaient fièrement devant elle, témoins de leur excitation présente. Confuse, ses pupilles grandes ouvertes, émue, elle me regarda avec un pâle sourire et ne dit rien, son émoi rendu bien visible par les mouvements lents de sa poitrine se soulevant périodiquement. Silencieux, je me penchai vers elle et pris ses seins dans mes mains pour les masser, ...
... les caresser et titiller avec mes doigts leur petit bourgeon terminal. Elle poussa un « Oh ! » de surprise, me dit sans être très décidée « Non… », timidement, et se laissa retomber en arrière sur le lit, les yeux dans le vague et la bouche légèrement ouverte, sortant un petit bout de langue pour humidifier ses lèvres. Sa respiration s’accéléra et elle commença à gémir quand je lui pinçai les tétons. Je l’avais un peu suivie dans son mouvement de recul en me penchant sur elle car je voulais continuer à jouer avec ses seins ; elle se redressa alors, s’accrocha à mes épaules, m’attira à elle et mit ses bras autour de mon cou ; elle colla ses lèvres aux miennes et m’embrassa avec passion, m’obligeant à ouvrir ma bouche pour y faire pénétrer sa langue ; la mienne et la sienne se réunirent alors, se jouant l’une de l’autre. Je dois dire que je ne rompis pas cette étreinte ; ses lèvres pulpeuses s’accordaient bien avec les miennes, et les mouvements erratiques de sa langue sur la mienne m’excitaient au plus au point. J’essayais bien de revenir en arrière, mais chaque fois que je voulais rompre notre baiser elle revenait vers moi en s’agrippant à mes épaules en prononçant les mêmes paroles. — Thomas… Thomas, reste… Je dois dire que ses baisers ne me répugnaient pas ; ses lèvres étaient si douces ! Je m’allongeai alors à ses côtés et laissai mes mains partir à la découverte de son corps. Mes doigts se glissèrent alors sur son cou, ses épaules, sous ses aisselles et le long de ses bras, ...