1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 02/01/2021, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo,

    ... Virginie était efficace ; certes, elle venait assez souvent avec sa fille et il y avait, parfois, un peu de désordre résiduel mais cela donnait un semblant de vie à l’appartement. La consigne : ne pas pénétrer dans mon bureau était suivie à la lettre. Il y avait une raison à cela : mon bureau, vaste espace constitué après avoir abattu une cloison entre deux chambres contiguës, était pour moi un centre sophistiqué de communication qui me permettait d’être en liaison par fax ou vidéoconférence (je disposais de 3 lignes dédiées avec 3 écrans) la nuit et le week-end avec mes associés ou des correspondants dans le monde entier, quelle que soit l’heure. De plus, n’étant pas un adepte des rangements méticuleux, j’avais des dossiers qui traînaient un peu partout sur le sol ou les chaises quand il n’y avait plus de place sur les bureaux. Depuis trois ans, je rapportais beaucoup de documents chez moi ; leur étude me permettait de lutter le soir contre la solitude. Tout allait très bien jusqu’au jour où je me suis aperçu que je ne retrouvais pas forcément tout l’argent que je déposais en vidant mes poches sur les meubles de la salle de séjour, de la salle de bain ou, encore, de ma chambre. Certes, ce n’était pas de grosses sommes, mais parfois je ne comprenais pas pourquoi 80 euros de monnaie et de petites coupures se transformaient en 5 à 10 euros en 48 h. Si cela ne s’était produit qu’une ou deux fois, je n’aurais pas fait attention au phénomène, mais il semblait que c’était devenu ...
    ... une règle générale dès que je semais de la monnaie derrière moi. J’étais plutôt embêté car je devais suspecter Virginie ou Émilie (elle était en général avec sa mère le mercredi) de ces petits larcins. Pour en avoir le cœur net, j’avais décidé un jour de laisser une liasse importante de billets de 50 et 20 euros disposés en désordre sous un livre. Naturellement, j’avais compté deux fois plutôt qu’une le nombre des billets. Le résultat fut très instructif car trois jours après il manquait 110 euros, soit un billet de 50 et trois autres de 20. Suite à ce résultat, j’ai eu une discussion orageuse avec Virginie que j’avais convoquée le samedi qui suivit la découverte du vol en lui demandant de venir sans sa fille. Après beaucoup de réticence, elle a fini par admettre sans me donner de justifications réelles que c’est elle qui se servait dans les billets et pièces laissés sur les meubles ; le manège semblait exister depuis assez longtemps mais Virginie était incapable de me donner un aperçu plus ou moins exact des sommes subtilisées. Elle avait commencé ce système de récupération un jour où elle avait un besoin urgent de monnaie et, comme je ne m’en étais pas aperçu, elle en avait conclu que je n’accordais aucune importance à ce type d’emprunt. Naturellement, je la licenciai et lui repris le trousseau de clefs de l’appartement qu’elle avait sur elle. Ne voulant pas la mettre dans une situation inextricable, je n’avais pas porté plainte mais ne lui avais pas proposé de lui faire un ...
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