-
Une querelle qui se termine bien
Datte: 02/01/2021, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo,
... (j’étais en colère et très énervé) car les traces de mes doigts à chaque coup s’imprimèrent très visiblement sur chacune des fesses. Quand elle reçut les premières claques, elle ne cria pas mais redoubla d’efforts pour se libérer, essayant de décoincer son bras gauche de dessous son corps ou de se retourner tout en poussant des injures et des onomatopées plus ou moins distinctes. Cependant, le poids de mon corps sur ses épaules et le blocage de son bras droit par ma main gauche lui laissaient peu de possibilités de mouvements. Elle essaya bien en remuant de me déstabiliser mais elle avait beau se tortiller et battre l’air avec ses jambes, je la maintenais fermement sous moi. J’ai pu alors continuer sans trop de problème à lui distribuer des claques sur les fesses et le haut des cuisses ; je dois dire que ce ne furent pas des caresses ; j’étais énervé et chacune de mes claques marquait sa peau. Elle abandonna très vite ses mouvements erratiques de libération et essaya de m’attendrir en répétant périodiquement « Je vous en prie… je vous en prie… » Je ne lui répondis pas. Elle avait commencé à pousser quelques cris, puis brusquement elle éclata en sanglots, tête dans le lit, comme si une barrière avait cédé. Je dois avouer que je n’avais pas compté le nombre de claques que je lui avais déjà données et je n’avais aucune idée de la durée de la fessée que j’allais lui donner, mais je sentis que les claques que je lui distribuais lui faisaient toutes assez mal vu ses gémissements ...
... et les traces laissées sur ses fesses ou ses cuisses. C’est bien beau de taper sur les fesses d’une fille, mais au bout d’un certain temps la main qui distribue les claques s’échauffe et j’ai dû marquer une pose. Ses fesses étaient bien rouges mais je n’en avais pas fini avec elle. Elle se redressa un peu et essaya de capter mon regard avec ses yeux humides, mais les miens étaient dirigés vers le sol à la recherche de mes mules tombées des pieds dans ma lutte avec elle. — Ne crois pas que c’est terminé ; je ne suis qu’à la moitié de ta punition. Je vais maintenant t’apprendre à respecter les autres et à ne pas dire n’importe quoi. Je ne suis ni un vicieux, ni un pédophile ! En même temps que je lui dis cela je me contorsionnai tout en la maintenant de mon bras gauche et récupérai avec ma main droite une de mes mules qui était au pied du lit. Elle essaya bien de se libérer en s’agitant mais j’avais déjà la mule dans la main droite et je dois avouer qu’elle fut plus que surprise quand je lui claquai les fesses avec ce nouvel instrument. — Oh ! Non !… Non ! Je vous en supplie !… Arrêtez ! Je vous demande pardon !… Arrêtez ! Je ne lui ai pas répondu, et je dois dire qu’entre 15 à 20 coups – peut être plus – assez méchants claquèrent sur ses fesses. Tête dans le dessus de lit, elle avait libéré son bras gauche et chaque coup que je lui donnais était marqué par un mouvement de ses doigts agrippant le dessus de lit. Elle ne criait pas mais pleurait en gémissant, la tête dans le lit. ...