1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 02/01/2021, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo,

    ... muscles meurtris afin de faire pénétrer petit à petit les onguents à travers sa peau. Je pris alors conscience de la plastique de Virginie ; jusqu’à présent, je ne l’avais surtout vue que vêtue à la diable avec des tee-shirts amples cachant ses formes, des pantalons informes et des souliers éculés. Certes, elle était toujours très bien habillée quand elle venait chez moi en extra pour m’aider à recevoir mes amis et clients, mais je ne faisais jamais trop attention à elle, étant pris par mes devoirs de maître de maison. J’avais déjà admiré sa chevelure foisonnante noire qui lui tombait au milieu du dos et qu’elle attachait souvent en queue de cheval, ses yeux noirs et perçants, mais je n’avais jamais essayé de deviner son corps sous ses habits. Je savais que lorsqu’elle souriait elle pouvait se montrer irrésistible, mais ces moments-là étaient très rares ; elle avait le plus souvent l’air triste avec la bouche un peu boudeuse ; elle ne respirait pas la joie de vivre ! Elle avait de belles fesses fermes sous mes mains, sans aucune trace de cellulite, très douces au toucher. Sa taille était assez fine (elle devait faire du 38) mais elle avait déjà un bassin un peu élargi comme toute jeune femme ayant déjà accouché. Elle avait une magnifique chute de reins aboutissant à deux fesses bien rondes. Ses cuisses présentaient un galbe magnifique ; elles étaient à la fois pulpeuses et musclées. Ses jambes dotées de magnifiques mollets oblongs se terminaient par de merveilleux petits ...
    ... pieds fins que l’on avait envie de prendre entre ses mains pour les caresser. Je dois dire que je ne restai pas insensible à sa plastique et à sa peau douce. C’était une belle femme d’un mètre soixante-dix environ avec un corps bien proportionné, qui ne devait pas rechigner à pratiquer des exercices physiques. J’avais envie de la consoler en la prenant dans mes bras pour la cajoler, et je dois dire que ma libido était en train de se réveiller. J’étais aussi un peu embêté de la tournure qu’avait pris notre rencontre et je me demandais ce qu’elle allait faire à la suite de la correction que je lui avais administrée. J’avais conscience de l’anormalité de la situation et je n’aurais pas été surpris si elle était allée porter plainte pour mauvais traitement. M’étant assis sur le lit à côté d’elle, je me mis alors à masser et malaxer consciencieusement ses fesses et le haut de ses cuisses en allant de l’intérieur vers l’extérieur ou l’inverse, du haut vers le bas ou du bas vers le haut et, petit à petit, je dois dire que mes mains élargirent leur champ d’investigation ; la douceur de sa peau était fort agréable au toucher et j’avais beaucoup de plaisir à malaxer en douceur ses muscles. Vers le haut, j’avais tendance à aller jusqu’à la ceinture où j’avais un certain plaisir à lui masser les reins et vers le bas jusqu’aux mollets que je ne me privais pas de caresser. Très rapidement, elle s’arrêta de pleurer, gardant sa tête entre ses bras, la figure cachée dans mon dessus de lit. Sans ...
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