1. Business, vernis à ongles et talons dorés


    Datte: 23/10/2017, Catégories: fh, fhh, couple, cocus, chantage, Oral couple+h,

    xXx Pour Caroline, mon épouse depuis bientôt dix ans, la chose était entendue : ce fantasme que j’évoquais lors de discussions intimes ne devait pas dépasser le stade de « représentation imaginaire ». Ces parties à trois où ma femme serait sous l’emprise d’un autre homme et que je me plaisais à imaginer étaient tout simplement inenvisageables ! Certes, il y avait eu l’incartade de cette soirée avec Antoine, un de ses ex-compagnons, où à la fin d’une soirée arrosée et dans l’intimité d’un feu de cheminée, elle avait pris un plaisir décuplé à ce que je lui fasse un cunnilingus devant notre hôte ébahi. Mais l’échange n’avait été que visuel ; et Caroline l’avait ramené au rang d’accident de parcours dû à l’alcool et à une folie passagère, condamné à l’oubli. Pour l’équilibre de notre couple, notre vie sociale, et pour mon plus grand ennui, Caroline bannissait à jamais toute idée de libertinage. J’avais pourtant essayé de remettre le sujet sur le tapis, évoquant même la possibilité d’aller dans un club échangiste, par simple curiosité. Mais elle s’était montrée encore plus catégorique : — Imagine que l’on y retrouve quelqu’un de mon travail ? Ma carrière serait ruinée à cause de ma réputation ! La perspective de retrouver son patron au beau milieu d’une partie fine aurait pu effectivement poser problème pour l’avenir professionnel de ma femme, il fallait le reconnaître. Et, paradoxalement, c’est bien la carrière de Caroline qui me permit d’arriver à mes fins. xxxxxxx Sans être ...
    ... une business lady arriviste, Caroline attachait une importance certaine à son travail. Plutôt douée dans ses relations et sérieuse, elle avait progressivement gravi les échelons du service administratif de la municipalité jusqu’au mois dernier où, à 35 ans, elle avait décroché un poste important dans les achats publics. Caroline profitait en effet de la démission de son prédécesseur, sur fond de scandale et de soupçon de prise illégale d’intérêt. Elle prenait ces nouvelles fonctions dans un contexte particulièrement tendu, et ses journées l’éprouvaient. Elle rentrait très tard et souvent exténuée. Un soir, elle finit par craquer. Les enfants étaient couchés et nous prenions un apéritif en silence, que je me suis aventuré à rompre sur un ton (qui se voulait) plaisantin : — Comment vont les affaires, mon amour ? Tu as obtenu une augmentation ? Des vacances ? Une voiture de fonction ? Elle me regarda d’un air vague avant de fondre en larmes. Et merde. — Ça y est ! finit-elle par lâcher entre deux sanglots. Je vais devoir démissionner. Une fois la première averse de pleurs passée, je tentai d’en savoir plus et, au terme d’une longue négociation, de serments solennels de ne pas éventer l’affaire, et, surtout, de ne rien tenter pour la régler, j’obtins des explications. Le maire lui avait confié la conduite d’un marché de plusieurs millions d’euros pour l’installation d’un système de vidéosurveillance des principales rues piétonnes de la ville. Plusieurs concurrents avaient répondu à ...
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