1. Akiko la japonaise (pure fiction écrite en 09.2010).


    Datte: 05/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Depuis quelques années, j’avais remarqué que dans la grande ville voisine, il y avait de plus en plus d’étudiants asiatiques des deux sexes. Lorsque je suis entré à l’université et que grâce à mon statut de boursier j’ai bénéficié d’une chambre à la Cité U, j’en ai eu la confirmation. Dans toutes les classes, il y en avait : Chinois, Coréens, Japonais, Indochinois… Si dans la journée, ces étudiants et étudiantes s’efforcent de parler en français ou en anglais, le soir dans les couloirs, on se serait cru en Extrême orient, d’autant que parfois des odeurs de cuisine exotique se répandent elles aussi dans les couloirs. Il y a quelques semaines, je faisais mon footing autour du plan d’eau qui est situé près du campus. Je profitais de ces belles soirées d’un été indien particulièrement clément cette année pour essayer de garder la forme avant les mois d’hiver. Là, j’ai croisé deux asiatiques que j’avais déjà vues sur le campus et dans les amphis. Nous n’avions pas sympathisé particulièrement, nous contentant de nous saluer brièvement. Ce soir là, je me suis arrêté à leur hauteur et nous avons bavardé un peu avant de reprendre tous les trois la direction de la cité U. Ce sont deux étudiantes japonaises qui après avoir suivi un cursus d’histoire dans leur pays sont venues en France pour étudier l’histoire de la Seconde Guerre mondiale vue de l’Europe. Elles se prénomment respectivement Chika (sagesse) et Akiko (enfant de l’automne). Elles sont assez semblables avec leurs longs ...
    ... cheveux noirs et leurs yeux marron foncé, un petit nez légèrement épaté au dessus d’une bouche bien dessinée dans un visage aux pommettes un peu marquées complète leur portrait. Elles ne sont pas très grandes, entre 1.60 et 1.65m mais elles ont une silhouette longiligne que je me plais à deviner sous leurs vêtements épais. Nous habitons deux bâtiments de la Cité U qui sont proches l’un de l’autre et lorsque nous nous quittons, je leur dit que si elles veulent bavarder en français, je peux les aider. Je peux aussi les aider en les transportant avec ma voiture sur les différents lieux de mémoire qui peuvent les intéresser pour leurs études. Ma nuit est peuplée de rêves érotiques où je vois mes deux japonaises se partager mes faveurs, suçant à tour de rôle mon sexe turgescent. Depuis plusieurs années, je fantasmais sur ces jolies fleurs exotiques depuis que j’avais vu un film X avec une actrice franco-vietnamienne. J’imaginais leur douceur et leur savoir-faire érotique… et çà me faisait rêver. Dimanche dernier, alors que je revenais d’être allé passer le weekend chez mes parents, j’ai rencontré Akiko dans le hall de mon immeuble. • Je te cherchais ! • Qu’y a-t-il ? • Nous n’avons pas de cours jeudi, peux tu nous emmener comme tu l’as proposé ? • Bien sur mais il faut que je vérifie mon emploi du temps. Nous sommes montés jusqu’à ma chambre. Effectivement, j’étais libre aussi le jeudi. Je n’avais que deux heures de cours de 8 à 10 heures. • OK ! Rendez-vous au parking à 10 heures 30 ! ...
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