1. Akiko la japonaise (pure fiction écrite en 09.2010).


    Datte: 05/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... • Ça marche ! Cette jolie fleur s’exprimait avec un accent chantant légèrement nasillard que je trouvais tout à fait charmant et je commençais à entrevoir autre chose qu’une simple relation de camaraderie. Quelle n’a pas été ma surprise lorsqu’Akiko s’est allongée sur mon lit en relevant ses bras au dessus de la tête. Dans ce mouvement elle a bombé le torse et j’ai vu immédiatement que cette coquine ne portait pas de soutif. Les pointes de ses seins saillaient sous le tissu fin de son sweet-shirt. En même temps sa jupe, très courte, est également remontée sur ses jambes dévoilant à peine son petit abricot tout rose dans la fourche de ses cuisses. C’était une invitation sans équivoque… Je ne suis assis près d’elle sur le lit et je l’ai enlacée. Nos bouches se sont jointes en un baiser ardent alors que ma main droite partait explorer les dessous de sa jupe. Son petit abricot aux lèvres très charnues était tout lisse mais au dessus de clitoris, il y avait une touffe de poils noirs qu’au toucher je devinai non disciplinée… Akiko était pressée contre moi qui la serrais doucement dans mes bras. Je sentais ses seins menus mais durs et pointus contre mon torse. En la maintenant contre moi avec un bras passé autour de la taille, j’ai glissé mon autre bras sous son sweet-shirt pour aller cueillir ses tétons et les faire rouler entre mes doigts. Je ne sais pas ce qu’elle a dit en japonais quand je lui ai prodigué cette caresse mais elle semblait apprécier. Nos baisers étaient de ...
    ... plus en plus chauds et mon sexe était dressé depuis bien longtemps dans mon slip. Akiko s’est défaite de mon étreinte et elle est venue me chevaucher pour être face à moi qui étais assis sur le bord du lit. Elle a mis ses cuisses de part et d’autre de mes hanches pour se frotter contre moi et sentir ma bite qui n’en pouvait plus… Nous n’avions encore quitté aucun de nos vêtements. Akiko portait encore sa jupe plissée (40cm de haut au maximum), son léger sweet-shirt et des bottes à talon arrivant sous les genoux. De mon côté, j’vais encore mon tee-shirt, mon pantalon de jogging et mon slip. Nous avons ôté mutuellement nos hauts. Je découvrais la merveilleuse poitrine d’Akiko, menue avec des seins bien ronds et des tétons proéminents. Etaient-ils sortis ainsi par ce que je les avais caressés quelques instants auparavant ? Je me suis mis à mon aise. En quelques secondes j’étais entièrement nu. Dans le même temps Akiko s’était débarrassée de ses bottes et allongée sur le lit. La jupe troussée autour de la taille, elle me tendait les bras : • Viens ! Depuis que je suis en France je n’ai plus fait l’amour ! J’ai envie de toi ! Comment résister à cette invitation ? Depuis bien longtemps j’ai toujours dans mes affaires une provision de préservatifs. On ne sait jamais sur quelle bonne fortune on va tomber et cela sert parfois pour dépanner des copains… Je me couvre rapidement et d’une seule poussée lente et progressive, je m’introduis dans le fourreau humide de ma jolie japonaise. ...