La séance, c'est après le ciné
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
fh,
hbi,
asie,
extracon,
cinéma,
volupté,
fdomine,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
humour,
... l’arrière en prenant appui sur mes coudes. J’ouvre mes jambes. Ses mignons orteils gratouillent mes bourses rétractées par le désir. Ma bite durcit encore et mon petit trou me démange. Une tache très identifiable souille mon slip. — Je ne suis pas lesbienne. J’ai essayé, ça ne m’a pas convaincu. Mais j’ai beaucoup de mal avec les mecs. Je ne supporte pas ceux dont le seul but est de me baiser, me couvrir. Je ne supporte pas d’être un trou à foutre. J’aime qu’on s’occupe de moi, mais pour moi. Si tu vois ce que je veux dire.— Je vois ce que tu veux dire mais si ton petit peton continue, je vais en avoir plein le slip. Ensuite, je vais tourner mollusque… Lay Houay, perverse, n’en arrête pas pour autant sa pénétration. Son pied s’enfonce toujours plus profondément entre mes fesses, les ouvrant (ce qui n’est pas difficile), sa cheville bute contre mon pénis, son gros orteil stimule mon anus. — Pas de risque ! Tu sais que je recommence à être excitée simplement en te caressant avec mon pied. Je ne dois pas être dans la norme ! Je crois que tu me plais parce que, toi non plus, tu n’y es pas. Lay Houay insinue son pied entre mon slip et mon cul. Par je ne sais quelle gymnastique, elle le place de telle sorte que son gros orteil force mon petit trou. Je me plante littéralement dessus. Mes fesses oscillent sur ce pénis improvisé qui me vrille l’anus. — Arrêtez, M’dame ! Sinon je vais perdre tout intérêt à votre plaisir.— Pour quelqu’un qui n’aime pas les nanas. T’es drôlement sensible ...
... à mes agissements.— Tu m’attaques sur mon point faible.— J’ai vu ! J’ai pas rencontré beaucoup de résistance pour te pénétrer. Tu aimes ça, on dirait ?— Oui mais arrête, je ne voudrais pas que tu te contentes d’un doigt.— C’est pas du tout mon intention ! Son pied recule. Ma montée de spermatozoïdes aussi. Elle se réinstalle confortablement. Attitude délibérément provocante : jambes ouvertes, remontant aussi haut que possible le pan de sa robe, exhibant sa chatte toute poisseuse de la jouissance qu’elle vient d’éprouver et de son excitation retrouvée. — Tu es vraiment un type zarbe ! Neuf mecs sur dix seraient déjà en train de me saillir pour vider leurs couilles dans mon con sans penser que je pourrais avoir encore du plaisir. Toi, tu dis stop et tu reprends tranquillement tes esprits. J’ai bien fait de t’inviter à boire un verre, dit-elle en levant son verre à ma santé (mentale ?). Tu le trouves bon, mon whisky ?— Il est excellent. Lentement, elle renverse son verre et fait couler une bonne lampée d’alcool dans le creux de son nombril. Inondation assurée. Je fixe, hypnotisé, le liquide ambré débordant du minuscule cratère arrondi pour s’écouler paresseusement vers sa toison. — Ouh ! Ouh ! Réveille-toi ! Tu ne vas pas laisser perdre un tel nectar. Pourtant, il se perd. Après un dernier méandre, il disparaît sous sa touffe. J’imagine l’alcool se mêlant à ses secrétions. Montée d’adrénaline. Sans plus attendre, je retourne entre ses cuisses. Ma langue dans son nombril, lapant ...