1. La séance, c'est après le ciné


    Datte: 24/10/2017, Catégories: fh, hbi, asie, extracon, cinéma, volupté, fdomine, intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, humour,

    ... violer, lance-t-elle ironiquement en quittant la pièce. Mon inquiétude est si visible que ça ? Drôle de nana ! Une seconde, tendre et féminine et la seconde suivante se comportant comme un mec. Excitant ce mélange. Après m’être servi un whisky ben tassé (je sens que je vais en avoir besoin), je m’intéresse à sa collection de cd. Je tombe en arrêt devant un vieux John Mayall,Blues from Laurel Canyon. Ça date ! Une éternité que je n’ai pas écouté ce truc. Je le mets dans la platine et vais m’asseoir contre le canapé à même la moquette. Le temps que passe le morceau d’intro, de savourer quelques gorgées de scotch, ma petite camarade est de retour. Pour s’être mise à l’aise no problem ! Elle a troqué son ensemble jean/chemisier contre une robe d’intérieur. Robe fourreau noire qui épouse son corps comme une seconde peau. Robe probablement en soie, fendue de chaque côté quasiment jusqu’aux hanches. Pas vraiment de mots pour qualifier, l’érotisme que dégage cette tenue sinon "Danger ! High voltage !". Soho. Chinatown. À son entrée, elle a baissé la puissance de l’halogène. La lumière ainsi tamisée sculpte ses hautes pommettes, accentue l’aspect diaphane de sa peau. Une héroïne de polar. J’en ai des frissons dans le dos. Qu’est-ce qu’une femelle de sa classe peut bien me trouver ? Je vais pour me relever. Elle me repousse gracieusement mais fermement de son pied nu aux ongles laqués de noir. — Ne bougez pas. Vous avez l’air enfin détendu. Je me sers un verre et je vous rejoins. ...
    ... Elle me tourne le dos, se penche pour saisir verre et bouteille. Position des plus suggestives qui rejette sa croupe en arrière. Quel cul ! La moindre marque de culotte serait indécente, tant la tension est vive. À moins d’un string très fin, Lay Houay a pensé que mettre une culotte serait une faute de goût. Certes, elle ne veut pas me violer mais manifestement, elle a bien l’intention de me convaincre de me porter volontaire. — Mayall ? Vous aimez le blues ? Ça ne m’étonne pas ! Pas besoin de répondre. La bouteille dans une main, le verre dans l’autre, elle s’assoit à l’autre bout du canapé et tapotant le cuir : — Venez me rejoindre, je ne vais pas vous manger.— Lay Houay, j’ai peur de ne pas être celui que vous cherchez, de vous décevoir. Je ne suis guère attiré par le sexe dit faible…— Ça, mon cher Dominique, me coupe-t-elle, il y a longtemps que je l’avais compris.— … ?— Vous n’avez jamais eu l’attitude macho qu’ont la plupart de mes clients. Vous n’avez jamais lorgné dans mon décolleté en essayant d’apercevoir la couleur de ma culotte. Pourtant (posant son petit pied sur ma cuisse et pointant son orteil en direction de mon sexe), il m’a semblé, tout à l’heure, ne pas vous être totalement indifférente. Tout en parlant, elle promène le bout de son orteil le long de ma braguette. — Pas seulement tout à l’heure ! Si je me fie à la bosse qui, peu à peu, déforme votre pantalon.— Ce n’est pas ça ! Bien sûr que vous me plaisez ! Oui, je vous désire mais j’ai jamais été un amant ...
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