L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... bas de gamme. Je laisse passer un moment afin d’accroître son stress, avant de me présenter d’une voix détachée. — Bonjour. Je me nomme Corinne. Je suis la gouvernante générale des domaines et vous travaillerez sous mes ordres si vous êtes retenue. ******************** Ça commence bien, elle ne se lève même pas pour me recevoir ! Elle me rappelle mon institutrice de CM2. Pourquoi ne me donne-t-elle pas son nom de famille ? Je ne vais quand même pas l’appeler par son prénom ! Je fais le vide dans mon esprit pour me concentrer sur cet entretien d’embauche, car j’ai vraiment besoin de ce poste. — Vous n’allez pas rester debout ! Je me retiens de faire une grimace en m’asseyant, car l’assise de la seule chaise disponible est encore plus inconfortable que celle de la salle d’attente. En effet, bien qu’elle possède un dossier, aucun rembourrage n’amortit la dureté du bois et il manque des accoudoirs. Je me sens mal à l’aise devant cette femme d’une cinquantaine d’années. Ses cheveux coiffés en chignon lui donnent un air sévère. De mon perchoir, je ne vois que le haut de sa robe, taillée dans un beau tissu noir. Son maquillage froid met en valeur ses yeux marron outrageusement entourés de couleurs sombres. Cette façon de se farder me rappelle des camarades de classe de ma fille, que j’avais aperçues une fois ou deux à la sortie de son école. Comment les surnomment-elles déjà ? — Parlez-moi de vous. Au ton de sa voix impérative, je sursaute avant de lui répondre : — Je suis née à ...
... Amiens… À la mort de mon conjoint, j’ai travaillé en tant que serveuse trois ans et demi. Cependant, à la fermeture du restaurant j’ai perdu mon… ******************** Je soupire intérieurement de lassitude, car je ne recherche pas d’employée dans la force de l’âge, mais des midinettes facilement manipulables. De plus, les postulantes de la première catégorie racontent toutes la même histoire, à quelques détails près : veuves ou divorcées, ont mis leur carrière professionnelle de côté pour s’occuper de leurs enfants, sont motivées, blablabla. La preuve, cette greluche avait travaillé moins de quatre ans. Du reste, elle n’a aucune expérience en tant que femme de chambre. J’avais pourtant demandé à l’agence de recrutement de me proposer des candidates certes motivées, mais aussi avec un minimum de compétences ! Toutefois, je ne vais pas la congédier tout de suite, car la sonnette de la porte d’entrée n’a pas annoncé mon prochain rendez-vous. De plus, je ne me suis pas encore amusée avec elle ou si peu. Je fais donc semblant de m’intéresser à ce qu’elle raconte. ******************** J’ai l’impression que cet entretien est mal barré. Mon interlocutrice a pris un air identique à tous les recruteurs rencontrés jusqu’à présent. Déçue et fatiguée de mes échecs à répétition, je continue néanmoins à faire bonne figure. — … j’ai obtenu le baccalauréat littéraire en 1990 et j’ai épousé mon mari la même année… En m’occupant de notre maison, j’ai élevé ma fille. ******************** Je me ...