Séduction délicate de la soeur de ma mère (23)
Datte: 07/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... montre-moi en desserrant ta ceinture. — J’aurais mieux fait de me taire…et je déboutonne ma chemise de nuit si je comprends bien. Rajouta-t-elle en prenant un ton blasé. Je connaissais parfaitement ma tante, elle crevait d’envie de se faire câliner mais ne voulait pas me le faire savoir. De ce fait elle adopta volontairement une attitude nonchalante en dénouant sa ceinture et en enlevant un par un ses boutons. Je restai posé dans mon attitude, hormis mon sexe se gonflant irrésistiblement face à cette femelle pure de toute relation depuis trois semaines. Puis Véro se leva, hyper sexy de mon point de vue. Du fait de sa grossesse, ses seins en forme de poire avaient pris la forme de poire type conférence, donc plus allongées mais sa silhouette en général était restée la même. Elle arborait pour le moment sans complexe une partie de son anatomie, à savoir son vente plat et musclé puis une partie de son sexe parfaitement épilé comme dit par texto. Elle saisit robe et chemise pour les ouvrir, me laissant le soin de contempler le corps de ma quadra préférée. Face à mon regard contemplatif, elle se contenta d’ajouter une simple phrase. — Euh… je te plais toujours ? Demanda-t-elle quelque peu confuse d’arborer sa nudité au beau milieu de la cuisine. — T’es ravissante ou mieux t’es à croquer sur place, approche un peu que je te caresse. En lui prenant la main. — Oui mais après on monte Patrick, j’ai peur que les garçons redescendent et nous surprennent. S’inquiéta-t-elle en restant ...
... debout face à moi. J’épousai de ma main tout le long de son buste, démarrant du bas-ventre jusqu’à la hauteur de sa nuque. Son corps ou du moins sa peau n’était plus la même, plus veloutée désormais. D’une infinie douceur je me plus à parcourir la base de ses seins, puis leurs pointes ainsi que le début de sonentrejambe. Je constatai à son visage détaché que Véro était hors du coup. — Patrick c’est très agréable mais si ça ne t’ennuie pas je vais monter voir Hugo et ensuite je rangerai la cuisine en redescendant. Dit-elle en repoussant ma main. — Oui monte et je la range cette cuisine, ne redescends pas et attends-moi au chaud. En me levant pour débarrasser les assiettes. — Je…je ne sais pas quoi dire, t’es vraiment un garçon très bien. En resserrant sa ceinture. — Et toi tu es quelqu’un de merveilleuse, je suis comblé avec toi. — Moi aussi Patrick, tu n’imagines pas ce que tu représentes pour moi. Tu es doux, attentionné avec moi et fort dans ta tête. Tu sais je suis en admiration devant toi pour ton âge et par moment je crains que tu n’aies fait une bêtise avec moi. Insinua-t-elle en prenant un air tristounet. — Véronique…tu ne dis que des conneries à cette heure-ci, il serait préférable d’aller te coucher. Lui rétorquai-je. — Je vais monter me coucher, tu as peut-être raison. Conclut-elle en filant en haut. En terminant de ranger la vaisselle, je pensai à ma tante, à ses états d’âme. Depuis le début de notre relation incestueuse, elle n’arrêtait pas de se culpabiliser, de se ...