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Séduction délicate de la soeur de ma mère (23)
Datte: 07/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... sentir honteuse de coucher avec moi. Certes ce sentiment était fort légitime, elle avait une relation intime avec le fils de sa grande sœur. Il fallait rajouter qu’en tant que fils unique, cela n’arrangeait guère les choses dans son sentiment d’indignité, d’impureté morale. Et puis dans toute cette histoire, nous ne nous étions pas vus depuis près de trois mois, hormis l’incartade de l’hôtel assimilée à un coup de folie pour Véronique. En regagnant l’étage j’avais cette impression étrange de repartir à zéro, de repartir à la conquête de ma tante. Véronique de nature pudique ne me favorisait pas la tâche et en arrivant dans la chambre, je ne fus pas surpris de la retrouver dans le lit en train de lire en chemise de nuit. La lampe de chevet allumée, elle parcourait les pages d’un bouquin bien épais pour le poser à même le sol quand elle me vit. — J’ai fait comme tu m’avais demandé et ne fais pas trop de bruit, il dort. Chuchota-t-elle. — Oui tu n’as pas froid ? Lui demandai-je en me déshabillant avec un sous-entendu la concernant. — Non ça va super mais je suis fatiguée du voyage et tout est nouveau, il faut que je trouve mes marques Patrick. — Repose-toi, je jette un coup d’œil sur mon fils. Comme il est beau ! Déclarai-je en me penchant sur le petit lit. — Attends je viens le voir aussi. Véronique oublia sa lecture aussitôt pour se mettre à mes côtés. J’étais en caleçon avec une gaule infernale en reluquant ses jambes fuselées et en devinant ses seins fermes et généreux. Je ...
... me gardai de tous gestes déplacés envers elle, mais Véro une fois son petit câlin terminé sur notre bébé se tourna vers moi. Démaquillée, les cheveux en bataille et avec ses petits cernes sous les yeux elle symbolisait la belle quadra sur laquelle je n’avais jamais cessé de fantasmer et pourtant elle était bel et bien là, devant moi en chemise de nuit. Une sorte de malaise régna un court instant entre nous pour faire place à une attirance physique puis sentimentale. — Patrick…je regrette ce que je t’ai dit tout à l’heure, c’est moi qui suis bête de penser cela. En fait c’est dur de me l’avouer…mais je suis si bien avec toi, très bien. En m’enlaçant tendrement. — Regarde-moi Véro. Nous sommes dans une situation où il faut être égoïste, nous ne devons penser qu’à nous et éviter de nous soucier des autres. Nous avons ce que nous voulions, nous sommes ensemble à l’étranger avec tes garçons qui dorment à tes côtés et notre bébé beau comme sa Maman qui dort aussi. T’es une nana géniale. En passant ma main sur sa joue affectueusement. — Han…tu m’appelles de nouveau ta nana…oh toi alors tu sais y faire avec moi…euh bon…tu veux bien me déboutonner ma chemise de nuit ? En saisissant cette fois ma main pour l’accompagner dans le premier geste. — La dernière fois que je t’ai appelée comme ça, tu m’as fait tout un speech en me disant que tu étais ma tante et pas ta nana. Lui répondis-je en détachant le dernier élément. — Oooh…ce soir je suis ta nana Patrick et je vois que tu ne perds pas ...