1. La reine Margo - 5


    Datte: 07/01/2021, Catégories: Humour, Lesbienne Mature,

    La forêt secrète(Première partie)Après m’être fait laver et habiller rapidement par mes bonnes puis coiffer les cheveux en chignon, je me mis à la recherche de la sorcière. J’étais curieuse de savoir ce qu’elle me voulait et aussi parce qu’elle me faisait envie, je la désirais ardemment. Cette femme-là m’attirait comme une armure attire la foudre. Elle était belle oui, même très belle, mais surtout mystérieuse, un peut étrange et dérangeante. Et puis, le concours de dessert ne m’avait mise qu’en appétit, car personne ne c’était occupé de moi. Vêtu seulement d’une robe écarlate des plus banale et très légère me chatouillant les chevilles et si décolletée que c’en était indécent, je la trouver finalement qui m’attendait patiemment sur un grand balcon comme me l’avais indiqué un garde. Un garde qui avait oser me dire que je faisais battre son cœur, car j’avais l’air d’une putain gitane ainsi vêtue de rouge avec mes cheveux noirs tout mouiller, ma peau de lait, mon corsage ouvert et mes pieds nus. Je m’étais contenté de lui tirer la langue en agitant les épaules pour faire s’entrechoquer mes gros seins sous son nez en riant comme une démone avant de poursuivre mon chemin en l’entendant crier : Reine Margo, tu es vraiment la reine des rondeurs, je te baiserai se soir a la fête et par tous les trous comme il se doit, comme la semaine dernière, tu en crieras de plaisir, encore et encore Margo la jolie et ta sœur avec... je t’aime ma reine... Tu es bien Margo, hum...ou Jeanne... ? ...
    ... Bordel, on s’y retrouve plus.On dut m’entendre rire jusqu’au village tandis que je me disais que ce serait bien pratique que ma sœur vienne vivre ici, au château maintenant qu’elle était veuve. Pratique et surtout, très agréable.Et là, j’étais bien décidé à amener Mara dans mon lit ou dans un coin tranquille, quelque part où l’on serait seul toutes les deux, si elle en ressentait le désir évidemment. C’est pour ça que j’avais laissé mon corsage délacer jusque sous mes seins et ceux-ci menaçait d’en jaillir a chaque pas en rebondissant et se frappant mollement. Fort agréable comme sensation et s’il y a quelque chose que j’aime, c’est bien d’essayer de séduire une autre femme, surtout une mystérieuse étrangère. Un homme c’est trop facile, je n’ai qu’as faire jaillir mes gros seins et il tombe à genoux, mais une femme, ça, c’est presque toujours un défie. Et, en me rappelant ses regards, appuyer sur mon corps nu la veille, je savais que mes chances étaient plutôt bonnes, même excellente. Donc, laver, parfumé et coiffer, mes meilleurs atours bien en évidence, mes seins, j’étais prête a attaquer ma proie, a lui faire oublier ses vieux livres poussiéreux en la faisant crier de plaisir. Je jubilais déjà à l’idée de me retrouver la tête entre ses longues cuisses à agiter la langue.Elle lisait un petit livre, jambes croisées en battant du pied, assis sur un banc de pierre à l’ombre d’un arbre en pot. Elle m’apparut encore plus belle que la veille, plus racée, plus gracieuse avec ses ...
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