La reine Margo - 5
Datte: 07/01/2021,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Mature,
... attirante que jamais.-Hum, hum...-En tout cas, dit-elle rieuse en se levant tout en se massant les reins, on ne m’avait pas menti non plus en me disant que vous étiez très, libertine. Ce que j’ai vu tout à l’heure c’était... bref, je ne suis pas près de l’oublier. Trois femmes avec d’énormes mamelles arrosant de lait maternel deux jeunes filles se vautrant dans de la nourriture sur une table, sacré tableau.-C’était juste un concours de pâtisserie qui... eh... a mal tourner, disons. Suivez-moi !Je l’entendis rire en prenant un petit passage au bout du balcon, difficile à trouver, car cacher derrière de nombreuses plantes en pot. Il menait à un escalier extérieur en colimaçon aux marches de pierre arrondie par l’usure remplie de feuilles mortes et de mousse si douce et si fraîche sous les pieds, car encore tout imbibé d’eau de pluie. On grimpa pour déboucher sur une petite terrasse, sale, remplie de feuilles mortes et de branchage ou venait mourir un petit ruisseau inattendu dans un tel endroit sortant d’un étroit couloir en palier, menant encore plus haut entre les toits. Des dizaines de corbeaux bien gras en train de s’y abreuver s’envolèrent à notre arrivée en croassant méchamment, mécontent apparemment d’être ainsi dérangé, pour aller se poser plus loin sur les toits ou nous survoler. L’eau vive disparaissait à travers une vieille grille toute rouillée au milieu de la terrasse. Comme des débris amener par l’orage de cette nuit menaçait de l’obstruer je la dégager du mieux ...
... que je pus avec les mains, plier en deux, jambes écarter. Tant qu’à se pencher quand on veut séduire, pourquoi le faire à moitié ? Un de mes seins en profita pour prendre l’air comme je l’espérais. Ça me fit sourire en imaginant Mara se rincer l’œil, mais en levant les yeux, je vis qu’elle observait plutôt les hauts toits qui nous entourait, ceux du château et ceux des différentes annexes rajouter au fil du temps et les anciennes tours de garde abandonnées depuis plus d’un siècle qui s’élevait très haut sur un fond de ciel bleu sans nuages.-Ce ne sera pas longue Mara, dit-je pour attirer son attention. Mais elle admirait à présent l’entrée du couloir juste en face de nous, car il était gardé par deux énormes griffons couverts de fiente d’oiseaux et user par les intempéries. En les regardant moi aussi, je souris me rappelant la première fois que j’étais venu ici enfants, car ils m’avaient tant effrayé.-Voilà, dis-je en me lavant les mains dans l’eau du ruisseau, si pencher maintenant que mon autre sein jaillit en se balançant mollement heurtant son jumeaux.Quand je me redresser, elle regardait finalement ma poitrine affaler sur ma robe, le sourire aux lèvres et les yeux luisant. Je soulever mes seins pour les remettre dans mon corsage mine de rien en prenant mon temps histoire de l’allécher un peut plus. Puis je me taper la poitrine en riant et dit :-Voila.-Ça doit être lourd a porté des seins pareils ?-Oui, j’ai mal dans le dos parfois, mais bon, la nature nous as ainsi faite ...