Vacances, sexe et exhib. (4)
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
Première initiation La nuit fut excellente. Je me suis levée de bonne heure en même temps que mon chéri ; nous n’avons pas fait l’amour mais je l’ai sucé, assise par terre, pendant qu’il prenait son petit déjeuner. Il a éjaculé, j’ai avalé, j’ai bu mon café, il est parti travailler. Les filles dorment encore. Je me douche puis, parfumée et coiffée, je prépare le petit déjeuner de ces demoiselles. Concentrée sur ma tâche, je sens tout à coup deux mains se poser sur me fesses – je sursaute – puis deux sur mes seins qu’elles caressent doucement, deux bises par deux bouches sur mes joues, deux têtes ébouriffées avec un joli sourire et un « Bonjour Julie… » Les voix sont douces et suaves. Elles sont arrivées derrière moi à pas feutrés. Les mains ont quitté mes seins pour venir caresser mon pubis. Je suis debout, agrippée au plan de travail ; j’écarte les jambes. Des doigts fouillent ma caverne, des langues font des ronds autour de mes tétons qui durcissent comme mon bouton. Et cette folle envie qui arrive me fait onduler, respirer fort, de plus en plus fort, tord mes entrailles et finit par me secouer comme une poupée de chiffon. Deux langues viennent chercher la mienne et jouent avec ; c’est bon, doux, tendre. Ces deux minois au large sourire me redisent « Bonjour, Julie. » — Qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui, Julie ? demande Élodie. Je n’arrive pas à trouver mes mots ; je suis dans du coton, les jambes tremblante. Je m’assois. — Eh bien, Julie, que t’arrive-t-il ? Un souci ? ...
... poursuit Tatiana. — Pouf… ! Je… Vous auriez pu prévenir. — Tu voulais des surprises, non ? — Euh, oui. La vache… euh… plage, ça vous dit ? — Oui, mais il faut acheter des maillots avant, dit Élodie. — Pas besoin : à poil, les filles, et pas d’histoires : vous l’avez fait devant Pat. Maintenant que le plus dur est fait, pique-nique à la plage naturiste. — Tu es folle ! On ne va pas se mettre… — … à poil sur la plage ? Si. Vous allez voir ; c’est facile, je vous expliquerai en route. Elles déjeunent enfin ; il est dix heures du matin. Je prépare le pique-nique en leur demandant comment s’est passée la nuit. Je reçois de jolis compliments sur le calme de la chambre, la douceur de draps en satin. Le pique-nique est prêt ; les filles aussi. Direction la plage naturiste de Bonnieu- Martigues en voiture. Arrivées à la plage : — Bon, les filles, vous faites comme moi : vous vous déshabillez tout naturellement. Vous avez l’impression de vous exhiber, mais pour tous ici, vous êtes à la plage pour bronzer, pour vous baigner et nager, pas pour le sexe ; juste pour apprécier et être bien nues, tout simplement. Ce n’est pas plus dur que ça. Après avoir méticuleusement scruté les alentours et quelques hésitations, elles finissent par adopter la nudité intégrale. Pour le moment, elles optent pour la position sur le ventre (il faut laisser le temps aux choses de se faire). Je leur propose de leur mettre de la crème solaire avant qu’elles ne passent du blanc au rouge-écrevisse, et je me fais un ...