Vacances, sexe et exhib. (4)
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
... pieds avec application comme si je les enduisais de crème, puis mes doigts remontent le long de leurs jambes en effleurant à peine leur peau lisse et douce. Ils courent le long de leurs cuisses jusqu’à rencontrer un fin morceau de tissu en dentelle masquant à peine la forme de leur fente. Je les regarde de temps en temps pour évaluer l’effet produit. Elles se tiennent par la main, épaule contre épaule, les yeux dans les yeux, bouche contre bouche. Je tente une intrusion indiscrète sous le tissu ; leur pubis aussi lisse que leur fente m’invite à poursuivre mon exploration. J’enlève de force le tissu gênant en le faisant glisser sous leurs fesses puis récupère deux strings humides qui volent au loin. Pas un bruit ; seul le chant des oiseaux qui gazouillent rompt le silence. Je suis déjà dans un état d’excitation avancé. Je reprends mon exploration et tente d’infiltrer un doigt dans l’entrée de leur caverne qui s’ouvre doucement. Un regard : elles se sont enlacées, s’embrassent amoureusement. J’ai le champ libre. Sous leur tee-shirt, je remonte du nombril jusqu’à leurs seins. Je les palpe, les malaxe ; un pincement à leurs tétons les fait vibrer et gémir, puis du bout des doigts je redessine leurs seins en faisant des cercles autour, et enfin je redescends vers leur ventre, leur pubis et leur intimité devenue très humide. xtrxllyc Les cuisses s’écartent : l’invitation est réelle. Je vais explorer leur caverne : les ondulations de leur corps et l’accélération de leur respiration ...
... sont suffisamment explicites. Elles me caressent les cheveux, les lèvres, m’offrent leurs doigts que je suce et tète avec délice et volupté. Elles avancent leur bassin sur le bord de la balancelle pour que je glisse sans difficulté deux doigts en elles. Elles me prennent le poignet pour que je les enfonce encore. J’affine mes mains. Elles forcent. Mes doigts fins et longs entrent doucement. Elles gémissent, les tee-shirts volent, elles se prennent mutuellement les seins, s’enfoncent sur mes mains. Elles ondulent de plus en plus, leur vagin se contracte, je sens les secousses de leur orgasme : il est fort, je le sais. C’est fini, je retire mes mains et me lèche les doigts. Le goût est indéfinissable, mais subtil. Elles me caressent les cheveux, la bouche, les yeux puis bondissent. Tout va très vite. Elles m’attrapent par les bras et me couchent sur le transat. Élodie me prend la tête et me roule une pelle d’enfer tandis que Tatiana m’écarte les cuisses de force ; ses doigts entrent en moi. Élodie me prend les seins en me les broyant littéralement et me pince les tétons. Je gesticule dans tous les sens. Elle force encore ; sa main me pénètre et bouge en moi. L’orgasme arrive tel une tornade. Il me fait mal, je suis secouée par les spasmes, je me cabre, décolle les fesses et retombe comme une masse, la main de Tatiana toujours en moi. Cette main bouge à nouveau, cette fois en un mouvement de va-et-vient rapide. J’ondule, je crie, et un nouvel orgasme arrive, aussi puissant que ...