1. Maria


    Datte: 09/01/2021, Catégories: h, fh, hplusag, Collègues / Travail religion, poilu(e)s, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, nopéné, uro, confession,

    ... dos et elle était sur moi, en train de me sucer divinement la bite pendant que je lui léchais sa chatte dégoulinante et son anus. On a joui presque ensemble, moi d’abord, dans sa bouche, puis elle, me trempant le visage. Ensuite, ce jour-là, elle s’était racontée, elle m’avait confessé ses multiples déboires sentimentaux, avec parfois des crises de larmes qui confirmaient sa déprime, sa névrose. Elle avait eu un oncle, très jeune frère de sa mère, qui n’avait qu’une dizaine d’années de plus qu’elle, dont adolescente elle était devenue follement amoureuse. Et elle avait commis la folie de le séduire et de se faire dépuceler par lui à l’âge de seize ans. Cette aventure incestueuse avait duré quelques années, et quand elle avait eu vingt ans, il l’avait larguée pour se marier et se mettre en ménage, et elle avait cru devenir folle de chagrin. Elle avait ensuite été consolée et séduite à son tour par une amie de sa mère (oui, oui, j’ai bien dit une amie…) dont elle avait partagé l’intimité pendant plusieurs mois avant de se faire virer aussi. Je ne sais pas pourquoi, à ce stade du récit, elle me plaisait encore plus, les histoires de gouines excitent toujours les hommes. Et enfin, son aventure avec son dernier, presque aussi vieux que moi. Elle s’était fait complètement embrigader par ce tordu qui appartenait à une secte douteuse, avec des croyances bizarres mélangeant la religion et l’ésotérisme. Il la faisait boire pour pouvoir ensuite la livrer à ses copains et ses copines de ...
    ... la secte. Entre deux sanglots, elle me raconta ces séances avec des détails sordides, il la faisait mettre nue les yeux bandés et un groupe d’excités pouvait profiter d’elle pendant qu’il la filmait. Bref une horreur dont elle avait fini par se sortir, mais pas indemne du tout, avec une cure de désintoxication à la clé. La pauvre fille s’était alors encore plus tournée vers la religion qui représentait pour elle une véritable planche de salut, mais qu’elle mélangeait avec ses besoins sexuels. Et nous, tous les jours, à la fin de notre journée d’accompagnement, nous allions « prendre le café » dans sa chambrette. Je me délectais de son corps, en explorant chaque recoin avec ma bouche, mes doigts, ma langue. J’aimais retrouver son odeur de femme, un parfum naturel ne faisant jamais appel à des fragrances commerciales. Un jour j’avais même eu envie du petit trou qui fait pipi et assise sur les toilettes, je lui avais demandé de se soulager devant moi pour que je puisse l’essuyer avec ma langue, tant j’avais envie de tout ce qui pouvait sortir d’elle. Et naturellement, après chacune de nos séance, elle s’agenouillait, nue, devant le crucifix au mur, et priait en remerciant du plaisir qu’elle avait pris. Ce mélange paradoxal de religion et de sexe devait connaître un paroxysme, à la fin de notre stage. Le dernier jour, le temps était frais et humide, et contrairement aux autres jours, elle n’était pas en short, mais portait une vaste jupe longue lui descendant jusqu’à mi-mollet et ...
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