Maria
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
... quarantaine épanouie, qui cache souvent une cinquantaine déjà avancée. Une vraie rousse, celle-là, impossible d’en douter, avec ses cheveux flamboyants lisses et taillés en carré, ses sourcils clairs et ses taches de rousseur. Et aussi des yeux verts, des yeux de chat derrière des lunettes de myope. Et vous savez ce qu’on dit : femme à lunettes, femme à quéquette… Une belle femme mûre et en chair, avec une poitrine lourde et remuante, très désirable, et puis je ne sais pas pourquoi, mais les vraies rousses m’ont toujours donné des idées. Chaque fois que je la croisais, je n’avais d’yeux que pour son décolleté laissant entrevoir le sillon de ses seins blancs mouchetés de taches de rousseur. Je respirais son parfum, dont la seule odeur capiteuse me donnait des démangeaisons dans la braguette. Comme souvent quand je regarde une femme qui me donne des idées, je me posais la question : comment jouissait-elle, la charmante rousse ? Avec quelle sorte de gémissements, de halètements, de petits cris et de soupirs ? Le soir même, j’imaginai un scénario avec ces deux belles pour agréablement me soulager dans mon lit. Une scène où nous nous serions livrés à une séance à trois, toutes les combinaisons étant possibles. Y compris bien sûr celle des deux femmes se roulant des galoches à pleine bouche puis en soixante-neuf se léchouillant leur chatte, l’une brune et l’autre bien rouquine. Imaginer la mince et androgyne fausse blonde et la vraie rousse pulpeuse se livrant sans pudeur sous mes ...
... yeux à des ébats de gouines m’avait vite amené à répandre sur mon ventre le trop-plein de mon désir. Le lendemain matin, j’eus une autre vision suggestive qui n’était pas faite pour calmer mes ardeurs de jeune homme, qui me revenaient à un âge où elles auraient dû se calmer. J’avais loué une chambre d’hôtes pour le mois de mon séjour dans ce bled campagnard. Mon hôtesse était une grande femme brune, aux cheveux poivre et sel coupés à la garçonne, dont j’avais juste remarqué, en m’installant la veille, la volumineuse poitrine. Elle me servit le petit déjeuner au saut du lit, sans façon, dans la cuisine. Elle était vêtue d’un mouvant peignoir soyeux, décent en apparence, long et boutonné haut, aux larges manches longues. Mais mon œil attentif avait détecté deux détails. Tout d’abord sa poitrine, libérée du carcan du soutien-gorge qu’elle portait dans la journée, semblait libre sous le tissu du peignoir. Basse et lourde, elle ballottait sous mes yeux fascinés quand la maîtresse de maison se déplaçait dans la cuisine, sans gêne aucune. Et puis surtout, à un moment où elle se baissait pour remettre sa pantoufle, je ne distinguai nulle marque de culotte sous la fine étoffe se plaquant sur ses fesses. L’imaginaire est un engrenage, une spirale, qui peut accélérer jusqu’à s’emballer, à partir d’un anodin fait générateur. À cet instant, se glissa dans mon cerveau l’idée qu’elle ne portait peut-être rien sous le peignoir. Incroyable ! Elle serait nue là-dessous, là, devant moi ? Cette ...