Maria
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
religion,
poilu(e)s,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
nopéné,
uro,
confession,
... ça, pour cette quasi-malade qui me défiait. Il suffisait de tenir pour les quinze jours qui restaient, et elle n’aurait qu’à se démerder avec ses problèmes pseudo paternels, à se trouver un autre vieux à qui se cramponner. Mais par ailleurs, il y avait ce petit diable, comme dans les dessins animés, avec ses oreilles pointues et sa queue fourchue, qui murmurait à mon oreille : « Vas-y, profites-en, gros bêta. Une jeune brune aux beaux nichons, à la chatte fournie, elle te fait trop envie, c’est sûr, et elle doit être bonne… Toi qui couches depuis si longtemps avec une femme mûre, d’accord elle est restée mince et belle, OK tu aimes toujours ses petits seins, et sa touffe légère de vraie blonde, mais justement, ça te changerait un peu. Allez, juste quelques petits coups au passage avec cette belle fille… » On était arrivé à la fin de notre rapide dîner et j’avais essayé de la dissuader autant pour la convaincre que pour me calmer moi-même. À la sortie du restaurant nous étions dans une sorte de statu quo surréaliste et boiteux, où j’acceptais que nous restions amis et où elle admettait que nous ne soyons pas amants, « tout au moins pour l’instant », rajoutait-elle en riant. J’avais quand même sauvé l’honneur et résisté à la tentation. Nous avions alors pris le chemin du camp, qui traversait la campagne déserte dès la sortie du village, la nuit arrivait et l’obscurité tombait peu à peu. On arriva devant la maison où elle louait une chambre et au moment où je me préparais à la ...
... quitter en lui souhaitant bonne nuit, elle me dit : — J’ai une bouilloire, tu viens prendre un café ? Et elle ajouta : — En copains, d’accord ? Mais je n’ai que du Nes, ça t’ira ? J’avais accepté, mais je me sentais glisser, la pente était savonneuse. Et en montant les marches derrière elle et en contemplant son cul se tortillant dans le short et ses jolies jambes, il me revint le fameux aphorisme : « Le meilleur moment, c’est en montant l’escalier… »« Mais non ! Arrête ! Juste un café et puis fuir, retrouver ta chambre pour évacuer le trop-plein de tes envies d’elle ! » Quand j’entrai dans la petite chambre, où j’observais le crucifix accroché au mur, j’avais encore du mal à contenir mon excitation. Elle referma la porte et m’invita à m’installer : — Assieds-toi, là, je mets à chauffer l’eau et je reviens. Je me laissai tomber sur le lit à une place qui avec quelques coussins servait de divan, et elle disparut derrière l’unique porte qui devait être celle de la salle d’eau et des toilettes. Pendant combien de temps ? Peut-être une minute ou deux, le temps pour la bouilloire de se mettre à chanter. Est-ce que j’avais senti le piège ? Naïf que j’étais, pas sûr. Et puis la porte s’ouvrit et là, ouah ! Elle était nue, complètement à poil, et marchait vers moi… Encore plus nue que nue, car elle avait gardé ses chaussures de montagne et ses chaussettes tirebouchonnées sur ses chevilles, ce qui renforçait cette nudité. Je ne vis que deux choses, ses seins en poire qui bougeaient au ...