La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
Résumé de l’épisode précédent : Édouard, un jeune étudiant en sciences de vingt ans, vient passer cinq semaines de stage dans l’Ardèche à Aubenas, dans l’usine de bobinage de Monsieur Dimitri Dumarez qui emploie cinquante-deux femmes et quatre hommes. Il est logé chez Béatrice Bompin, une amie du patron, une belle boulangère, veuve depuis plus de dix ans qui devient très rapidement son amante « attentionnée ». Il va travailler avec Tatiana Turkof, une technicienne en électricité, qui quitte l’établissement dans trois semaines. Il devra faire tous les jours un compte-rendu à la responsable administrative Mademoiselle Parson, une personne austère et plutôt antipathique dont le nom lui rappelle les mots « poison » et « prison ». Monsieur Dimitri Dumarez, le patron de l’entreprise de bobinage qui porte son nom, habite une grande maison un peu à l’extérieur de la ville. Pour s’y rendre à pied, Édouard a mis quarante bonnes minutes. Comme c’est aujourd’hui dimanche, l’activité de la ville est sérieusement au ralenti. Toutes les boutiques sont fermées, il y a donc peu d’animation. Arrivé devant la grille d’entrée, Édouard appuie sur le bouton de la sonnerie, une sorte de corne de brume de marine se met en action avec un son particulièrement perçant et simultanément la petite porte de la grille s’ouvre automatiquement. La maison est au fond d’un grand jardin très arboré. L’allée qui permet d’y accéder fait une centaine de mètres de long. Au loin sur ce qui semble être une grande ...
... terrasse un groupe de personnes est réuni autour d’un apéritif. Dimitri Dumarez est debout pour accueillir son invité : — Mon jeune Édouard, je te présente tout d’abord Danielle ma fidèle épouse de tous les combats.— Enchanté Madame.— Tu connais déjà mon associé, Didier Dufour, que tu as vu hier et son épouse Dominique qui sont des frères de Résistance. Ils ont participé activement à la libération du Vivarais. Dimitri Dumarez se tourne ensuite vers une femme encore très jeune, assez mince, à la peau très mate, aux yeux marron clairs discrètement maquillés et aux longs cheveux noirs qui descendent jusqu’à la taille. Édouard remarque immédiatement le regard perçant de cette femme qui pétille de vitalité et d’intelligence. Son corps est superbement proportionné et sa poitrine très féminine est mise en valeur par un chemisier bien ajusté : — Édouard, je te présente Sabine Sudra. Je la considère comme ma fille adoptive. Son père, syndicaliste dans l’usine et Résistant m’a sauvé la vie en 1944. Le malheureux est mort peu de temps après. Depuis Sabine a pris son relais. Elle fait du syndicalisme et de la politique. Elle s’est mise en tête de changer toute la société. Quand l’une de nos employées commet une erreur, c’est toujours elle qui prend sa défense, ce qui ne va pas forcément dans le sens de mes intérêts, mais je l’adore quand même. À trente-cinq ans, elle n’a pas encore jeté son dévolu sur un futur mari, mais il lui reste encore de nombreuses belles années.— Déjà trente-six ...