La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... grand-chose en dessous, un peu comme à l’hôpital. Monsieur Antoine lui en donne l’explication : — Les employées se déshabillent dans un vestiaire avant de rentrer dans l’atelier. Elles ne gardent que leurs sous-vêtements sous leur long tablier, quoique certaines, quand elles peuvent se le permettre, enlèvent même leur soutien-gorge. Quand il fait chaud, elles se disent plus à l’aise. Le soir, c’est l’opération inverse, elles prennent une douche puis elles se rhabillent.— Et dans mon cas ?— Toi aussi tu travailleras en tablier mais il est blanc. Il y a un petit vestiaire réservé aux hommes dans lequel tu pourras mettre tes affaires. Il est aussi équipé de douches. Tu auras toute la place que tu veux. Nous ne serons que tous les deux à l’utiliser. Monsieur Antoine se dirige en premier vers un groupe de deux femmes : — Édouard, je te présente celles que tout le monde appelle les dames en « A ». Leur métier commence par la lettre « A », elles sont Ajusteuses-Assembleuses et elles ont toutes les deux un prénom commençant par la lettre « A » : Agnès et Antoinette. Tu seras souvent en contact avec elles, ce sont des professionnelles hautement qualifiées, elles vérifient tous les montages de précision et les moutons à cinq pattes. Elles sont souvent parmi les dernières à quitter l’atelier.— Bonjour, Mesdames, je suis content de faire votre connaissance.— Et nous aussi, charmant jeune homme, lance Antoinette, la plus décontractée des deux, avec un petit sourire coquin aux lèvres qui ...
... en dit long. Monsieur Antoine, il faudrait nous amener beaucoup plus souvent de jeunes stagiaires techniciens. Ça rajeunirait sérieusement l’atelier et ça mettrait un peu de piment dans la vie de tous les jours. Monsieur Antoine ne prête pas attention à ces remarques et poursuit la visite de l’atelier en présentant Édouard plus superficiellement aux autres employées. Ils arrivent au bureau de Sabine Sudra, la fille adoptive de Monsieur Dumarez, qui fait d’entrée une grosse bise à Édouard : — Bonjour, Édouard, tu prends tes premières marques dans l’usine ?— Oui, c’est la première fois que je visite un atelier de fabrication pour y travailler.— Et bien, bonne continuation. Si tu passes devant mon bureau, n’hésite pas à en pousser la porte.— J’en prends bonne note.— Ça tient toujours pour demain ?— Oui, bien sûr. En passant devant un petit bureau de contrôle, une femme très féminine au visage souriant se lève. Les deux derniers boutons de son grand tablier sont défaits, ce qui laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et que sa poitrine est libre de ses mouvements : — Monsieur Antoine, n’oubliez pas de me présenter en tant que responsable du contrôle à votre jeune et séduisant stagiaire.— Excusez-moi, Madame Contra, je ne vous croyais pas dans votre bureau. Je vous présente Monsieur Édouard Écorcier qui va travailler avec Mademoiselle Tatiana Turkof, notre technicienne en électricité. Madame Contra se tourne alors vers Édouard avec des gestes très étudiés. Par un jeu ...