1. La contrôleuse sans interdit


    Datte: 10/01/2021, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail douche, volupté, massage, Oral fdanus, historique,

    ... avec un sourire narquois mais plein de fraîcheur : — Un à zéro !— Que veux-tu dire ? demande Claire d’un air très étonné.— Une jouissance à zéro. Claire, un peu gênée, recule un peu sa tête avant de lui répondre : — C’est de ta faute, tu m’as demandé de me laisser faire.— Et j’avais raison. Maintenant vous allez être obligée d’y mettre le paquet pour rattraper le terrain perdu et cela devrait être des plus agréables pour moi.— Je ne me fais aucun souci, Édouard, car j’ai tout mon temps pour te cajoler.— Pas moi, hélas. Je n’ai toujours pas essayé la douche et comme tu peux le constater la partie masculine de mon individu devient de plus en plus impatiente. Édouard se penche sur Claire pour embrasser le bout de ses seins et les mordiller délicatement du bout de ses dents avant de lui dire : — Avoir une femme très féminine qui jouit dans mes bras, c’est pour moi le plaisir le plus fabuleux. Plus une femme jouit fort, plus ses parties intimes sont onctueuses et plus je suis heureux.— Tu es comme Monsieur Antoine qui voulait toujours que sa partenaire jouisse en premier, il suivait toujours quelques secondes après. La pire des vexations qu’on pouvait lui faire était d’avoir une panne de jouissance parce que c’est lui qui se remettait en cause.— C’est un homme qui avait du savoir-vivre. Édouard fait un dernier gros baiser dans le cou de Claire et l’invite à se lever : — Je vais vous proposer quelque chose de tout à fait innovant que je n’ai encore jamais fait.— J’attends ta ...
    ... proposition.— Nous allons mettre la chaise en fer sous la douche et nous pourrons faire l’amour assis et face à face pendant qu’un déluge d’eau chaude qui nous coulera dessus.— Tiens, c’est une idée originale. Ça te ferait plaisir, Édouard, que je te dise que je n’ai jamais aimé un homme en étant à la fois assise sur une chaise et sous une douche ?— Bien sûr et en plus, je vous dirais : ça s’arrose. Claire se met à rire franchement et, dans les premières secondes, a du mal à retrouver son souffle : — Avec un déluge d’eau, mon bel Édouard ? Édouard apprécie beaucoup cette situation où l’on passe en quelques secondes d’un érotisme plus que chaud à une plaisanterie d’étudiant. Il poursuit sur un ton plus sérieux : — Mais pas uniquement. Demain à midi nous pourrons déjeuner tous les deux à la cantine avec vos autres collègues.— Avec plaisir, nous sommes un groupe d’une dizaine de femmes.— Alors vu le nombre, j’achèterai deux bouteilles de rosé et quand nous trinquerons tous les deux vous pourrez discrètement penser au plaisir que nous allons partager maintenant. En entendant cette phrase, Claire redevient extrêmement sérieuse : — Édouard j’aime ce que tu viens de dire.— Trinquer avec un bon rosé ?— Non ! Me dire qu’on va partager du plaisir. C’est rare d’entendre un homme employer le mot partage. Édouard installe la chaise sous la douche, s’assied et ouvre le robinet d’eau : — Venez sur moi, Claire, je suis super impatient de sentir tout votre corps. Claire s’approche d’Édouard et ...
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