La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... proposition à Claire : — La campagne ou la forêt à pied, après le travail, s’il fait beau et dans un endroit discret, ça vous tente ?— Pourquoi pas et si tu sais me prendre avec courtoisie, gentillesse et beaucoup de douceur, il n’y aura pas d’interdit en amour avec moi.— C’est très sympa de me dire ça, je vous inviterai volontiers au restaurant après, mais il faut que vous ayez une voiture.— J’en ai une, mais je dois t’avouer que je ne suis jamais sortie au restaurant avec un garçon aussi jeune que toi.— Aucune importance, « la valeur n’attend pas le nombre des années », je me ferai passer pour votre cousin ou un ami de votre fille. Je me tiendrai correctement, sans aucune ambiguïté.— Ça me rassure.— Jeudi prochain s’il fait beau, ça vous irait ? On disposerait au moins de trois bonnes heures pour se faire un petit câlin, c’est en ce moment que les jours sont les plus longs.— C’est d’accord. Je mettrai une couverture ou deux dans la voiture.— Après on choisira un petit resto touristique sur l’Ardèche, pas trop près d’ici, ça nous permettra de passer totalement inaperçu. Édouard referme son vestiaire à clés et se dirige avec Claire vers la sortie : — À demain à l’atelier, Madame Contra, pour mettre au point les contrôles.— Monsieur Édouard Écorcier, je fais toujours mon travail de contrôle avec beaucoup de sérieux, je suis une femme de confiance et le travail a toujours été à la base de ma vie. N’hésitez surtout pas à faire appel à mon expérience. Après être repassés au « ...
... vous », Claire et Édouard s’embrassent langoureusement une dernière fois avant de se séparer. Claire repasse par la porte de derrière pour ne pas être vue en compagnie d’Édouard et pour rester discrète. Édouard s’arrête chez le gardien pour téléphoner à Béatrice et la prévenir d’un retard de dix minutes environ. Le trajet à pied lui permet comme à son habitude de remettre ses idées en place et de reprendre des forces. Une demi-heure plus tard, il arrive chez Béatrice qui l’accueille dans sa belle robe de chambre chinoise en soie. Édouard lui dit bonsoir en la prenant dans ses bras et l’embrasse avec beaucoup de fougue. Il s’installe ensuite dans le gros fauteuil et Béatrice vient le rejoindre en s’asseyant sur ses genoux. Avec son visage toujours aussi souriant, elle lui dit : — Mon petit Édouard, tu es propre comme un sou neuf.— Oui, avant de quitter l’usine j’ai pris une douche déluge. C’est impressionnant la sensation de bien-être qu’on éprouve avec la quantité d’eau chaude qui te tombe sur le dos. Édouard déboutonne la robe de chambre de Béatrice. Elle ne porte aucun sous-vêtement. Ses seins sont toujours aussi resplendissants et sa peau toujours aussi douce et aussi chaude : — Pendant que nous prenons l’apéritif, ma belle Béa, je vais te raconter ma dure journée à l’usine… et j’en profiterai pour caresser discrètement tes cuisses et peut-être d’autres choses.— Tu n’es pas trop fatigué ?— Comme après plus de douze heures d’absence. Mais ne t’inquiète pas, avec la douche ...