La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... chinoise en soie, l’attend dans un grand fauteuil en écoutant de la musique : — Bonsoir, ma belle Béa, j’ai un cadeau pour toi de la part de Sabine Sudra.— Bonsoir, mon petit Édouard chéri, alors où est-il ce cadeau ?— Elle m’a dit de te faire une grosse bise de sa part.— J’espère que tu m’en feras un peu plus… Non ! Beaucoup plus. Édouard prend Béatrice dans ses bras. Leurs deux bouches se retrouvent. Béatrice caresse avec passion la tête d’Édouard qui laisse aller ses mains dans le dos et le creux des reins. Pour elle c’est comme une redécouverte, elle a terriblement envie de faire l’amour, comme si elle ne l’avait pas revu depuis des mois. Béatrice se dessert un peu d’Édouard et lui dit : — Veux-tu manger un gâteau et boire un dernier verre avant de monter ?— Avec plaisir, tu as même le droit de t’asseoir sur mes genoux pendant la dégustation. Édouard déboutonne la robe de chambre de Béatrice qui s’assied sur ses genoux. Il peut facilement caresser tout son corps déjà brûlant de désir : — Ma belle Béa, j’ai envie de te poser pleins de questions indiscrètes.— J’y répondrai si ce ne sont pas des bêtises de lycéen sur le tard.— Quand et avec qui as-tu fait l’amour pour la dernière fois ? Depuis que j’ai quitté Monsieur Dumarez, c’est une question qui n’arrête pas de me trotter dans la tête. Réponds-moi franchement, tu sais bien que tout restera entre nous.— Tu sais que j’aime la discrétion, mon petit Édouard. Je t’ai déjà dit que je n’avais plus d’amant.— Tu es une menteuse ...
... Béatrice, et ce n’est pas bien pour une femme comme toi. Béatrice se met à rougir et ne comprend pas pourquoi Édouard commence à être aussi inquisiteur, c’est peut-être la faute des apéritifs de Dimitri Dumarez. — Je te répète que tu es une sacrée menteuse, ma belle Béa.— Je te promets, mon petit Édouard, que ce n’est pas dans mes habitudes. Édouard commence par sourire puis, n’arrivant plus à garder son sérieux, éclate de rire : — Ma très chère Béatrice, tu as un amant : c’est moi ! En plus, c’est avec moi que tu as fait l’amour la dernière fois, il y a quelques heures à peine. Je suis très triste que tu ais refusé de répondre à ma question. J’espère qu’il n’y a pas eu un autre homme pendant que j’étais chez Monsieur Dumarez, ce qui expliquerait ton embarras. Béatrice pousse un gros soupir et fait ensuite un immense sourire à Édouard, de soulagement de prime abord, puis plein de désir : — Tu plaisantes souvent à froid comme cela ?— Oui et non. Uniquement quand je suis en forme et pour déstabiliser la personne qui est en face de moi. Édouard mange son gâteau d’une main et caresse alternativement les cuisses et la poitrine de Béatrice avec son autre main. Un dernier verre de rosé partagé et Béatrice se lève. — Où vas-tu ma belle Béa ?— Dans la chambre.— Non ! Reste encore un peu ici, j’ai envie de te violer sur la table. Béatrice est extrêmement surprise et fait un petit geste de recul. Elle n’a visiblement pas compris ce que voulait Édouard : — Tu veux venir m’aimer sur la ...