La contrôleuse sans interdit
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
... Dans l’état où tu es, je pense que je n’aurai pas à appuyer très fort pour forcer le passage.— Puisque tu veux que je sois obéissante, ne me force pas à te parler, mon petit Édouard chéri. Fais ce que tu crois devoir faire à une femme qui attend beaucoup de toi et qui va te juger sur pièces. Édouard appuie sans forcer sur la petite rondelle et son doigt s’enfonce lentement, profondément et avec facilité. Cette pénétration tout en douceur déclenche de petits tremblements dans les fesses, les cuisses, et une partie du bas ventre de Béatrice. Édouard aime sentir les vibrations qu’il déclenche dans ce corps en attente de plaisir. Cette femme qu’il désirait tant dès leur première rencontre s’offre maintenant complètement à lui, avec confiance, ferveur et érotisme. Son majeur frôle délicatement en tournoyant les parois intimes les plus profondes et les plus chaudes de Béatrice. En même temps, avec son pouce, il caresse doucement l’entrée de sa chatte qui se fait de plus en plus humide et dont les petites contractions sont déjà un premier signal d’impatience. Béatrice commence à regarder son amant de plus loin. Son visage est toujours très détendu. Sans prévenir, Édouard fait rentrer son pouce d’un seul coup dans son puits d’amour. Béatrice attendait cet instant. Elle esquisse un léger sourire puis respire très profondément en poussant un petit râle de bonheur avant de se détendre. Les deux doigts d’Édouard peuvent presque se toucher. Ils ne sont séparés entre eux que par une ...
... cloison qui paraît si mince, si délicate mais si soyeuse. Une sensation mêlant chaleur, onctuosité et bien-être envahit Édouard. Avec sa bouche, il se rapproche de ces parties qui n’ont plus d’intimes que le nom. Les coups de langues sur le clitoris de Béatrice ont des répercussions à travers tout son corps : ses cuisses sont prises de frissonnements, ses seins se dressent et appellent à la caresse, son regard s’éloigne vers un univers de douceur, de volupté et de plaisir. Pour augmenter les sensations, Édouard décide d’aspirer le clitoris avec sa bouche, de le sucer puis de le pincer plus fermement avec ses lèvres. La sensation d’abandon de Béatrice devient totale, elle commence à râler, doucement au début puis beaucoup plus bruyamment sur la fin, presque sans retenue. Savoir son amante sur le dos, les yeux à mi-fermés, avec des râles qui se transforment en gémissements, entendre des propos incohérents dans lesquels il peut discerner : « Amour, chéri, continue… » a pour effet d’exciter Édouard au plus haut point. À cet acte où corps et imaginaire tendent à ne faire plus qu’un, Béatrice ajoute des émotions et des sentiments. Si Édouard continue à ce rythme-là, Béatrice ne pourra plus contenir son plaisir. Il faut qu’il calme le jeu, et il tente de le faire. Sa bouche quitte le clitoris de son amante pour aller vers le bas de son ventre, vers son nombril, et enfin vers ses seins qui ne demandent qu’à être mordillés. Mais c’est déjà bien trop tard pour la faire patienter, son ...